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><?xml version='1.0' encoding='UTF-8'?>
><!DOCTYPE sections SYSTEM "/dtd/book.dtd">
>
>
>
>
>
>
><sections>
>
><version>2.17</version>
><date>2006-02-27</date>
>
><section>
><title>Information sur le systÃ¨me de fichiers</title>
><subsection>
><title>Qu'est-ce que fstab&nbsp;?</title>
><body>
>
>
>Sous Linux, toutes les partitions utilisÃ©es par le systÃ¨me doivent Ãªtre listÃ©es
>dans <path>/etc/fstab</path>. Ce fichier contient l'information relative aux
>points de montage de ces partitions (oÃ¹ elles se situent dans le systÃ¨me de
>fichiers de Linux), Ã  la faÃ§on dont elles sont montÃ©es (dÃ©crite par des options
>spÃ©ciales) et aux circonstances de leur montage (qui peut Ãªtre
>automatique ou non, sous le contrÃ´le des utilisateurs ou non, etc.).
>(N.D.T.&nbsp;: Bien que l'on emploie frÃ©quemment l'expression Â«&nbsp;monter une
>partition&nbsp;Â», il serait plus exact de dire que l'on monte le systÃ¨me de
>fichiers prÃ©sent sur la partition, et non pas la partition elle-mÃªme.)
>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>CrÃ©er /etc/fstab</title>
><body>
>
>
><path>/etc/fstab</path> emploie une syntaxe particuliÃ¨re. Chaque ligne contient
>six champs sÃ©parÃ©s par des blancs (un ou plusieurs espaces ou tabulations, ou
>encore un mÃ©lange d'espaces et de tabulations). Chaque champ a une signification
>particuliÃ¨re&nbsp;:
>
>
><ul>
><li>
> Le premier champ indique la partition (il s'agit du chemin d'accÃ¨s vers
> le fichier matÃ©riel).
></li>
><li>
> Le second champ indique le point de montage oÃ¹ la partition sera
> montÃ©e.
></li>
><li>
> Le troisiÃ¨me champ indique le type de systÃ¨me de fichiers prÃ©sent
> sur la partition.
></li>
><li>
> Le quatriÃ¨me champ indique les options de montage utilisÃ©es par
> <c>mount</c> lorsque cette commande tente de monter la partition. Puisque
> chaque type de systÃ¨me de fichiers a ses propres options de montage, vous Ãªtes
> encouragÃ© Ã  lire la page man de la commande mount (<c>man mount</c>) pour
> obtenir une liste complÃ¨te de ces options. Des options de montage multiples
> doivent Ãªtre sÃ©parÃ©es par des virgules.
></li>
><li>
> Le cinquiÃ¨me champ est utilisÃ© par <c>dump</c> pour dÃ©terminer si la partition
> doit Ãªtre Â«&nbsp;<c>dump</c>Ã©e&nbsp;Â» ou non. Vous pouvez gÃ©nÃ©ralement
> laisser cette valeur Ã  <c>0</c> (zÃ©ro).
></li>
><li>
> Le sixiÃ¨me champ est utilisÃ© par <c>fsck</c> afin de dÃ©terminer l'ordre dans
> lequel les systÃ¨mes de fichiers doivent Ãªtre vÃ©rifiÃ©s si le systÃ¨me n'a pas
> Ã©tÃ© mis hors tension de faÃ§on appropriÃ©e. Pour le systÃ¨me de fichiers racine,
> la valeur devrait Ãªtre <c>1</c>. Pour les autres systÃ¨mes de fichiers, la
> valeur devrait Ãªtre <c>2</c> (ou <c>0</c> s'il n'est pas nÃ©cessaire de
> vÃ©rifier le systÃ¨me de fichiers).
></li>
></ul>
>
>
>Vous devez modifier le fichier <path>/etc/fstab</path> qui a Ã©tÃ© installÃ© par
>Gentoo, car celui-ci n'est qu'un exemple et votre systÃ¨me ne dÃ©marrera pas si
>vous le laissez tel quel. Ouvrez <c>nano</c> (ou votre Ã©diteur favori) pour
>crÃ©er votre <path>/etc/fstab</path>&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ouvrir /etc/fstab">
># nano -w /etc/fstab
></pre>
>
>
>Jetons un coup d'Åil Ã  la faÃ§on d'Ã©crire l'entrÃ©e correspondant Ã  la partition
><path>/boot</path>. Il ne s'agit que d'un exemple, aussi ne le copiez pas si
>votre architecture ne requiert pas de partition <path>/boot</path> (par exemple
>pour une machine Apple PPC).
>
>
>
>Dans notre exemple de stratÃ©gie de partitionnement par dÃ©faut pour les systÃ¨mes
>x86, <path>/boot</path> est sur la partition <path>/dev/hda1</path> dans un
>systÃ¨me de fichiers <c>ext2</c>. Il doit Ãªtre vÃ©rifiÃ© au dÃ©marrage. Nous
>Ã©crivons donc&nbsp;:
>
>
><pre caption="Exemple d'une ligne pour /boot dans /etc/fstab">
>/dev/hda1 /boot ext2 defaults 1 2
></pre>
>
>
>Certains utilisateurs ne dÃ©sirent pas que leur partition <path>/boot</path>
>soit montÃ©e automatiquement au dÃ©marrage pour des raisons de sÃ©curitÃ©. Dans ce
>cas, il convient de remplacer <c>defaults</c> par <c>noauto</c>. Ceci signifie
>que la partition <path>/boot</path> devra Ãªtre montÃ©e manuellement avant chaque
>usage, par exemple pour installer un nouveau noyau et configurer grub.
>
>
>
>Afin d'amÃ©liorer les performances, la plupart des utilisateurs devraient
>ajouter l'option <c>noatime</c> au champ options de montage, ce qui donnera un
>systÃ¨me plus rapide puisque les temps d'accÃ¨s ne seront pas consignÃ©s. De
>toute faÃ§on, vous n'en avez gÃ©nÃ©ralement pas besoin.
>
>
><pre caption="Une ligne amÃ©liorÃ©e pour /boot dans /etc/fstab">
>/dev/hda1 /boot ext2 defaults,noatime 1 2
></pre>
>
>
>Poursuivons l'exemple avec ces trois lignes qui dÃ©taillent les partitions
>montÃ©es sur <path>/boot</path> et sur <path>/</path>, et la partition de la
>mÃ©moire virtuelle&nbsp;:
>
>
><pre caption="Trois lignes de /etc/fstab">
>/dev/hda1 /boot ext2 defaults,noatime 1 2
>/dev/hda2 none swap sw 0 0
>/dev/hda3 / ext3 noatime 0 1
></pre>
>
>
>Pour terminer, vous devriez ajouter des entrÃ©es pour <path>/proc</path>,
><c>tmpfs</c> (nÃ©cessaire) et pour votre lecteur de CD-ROM (et, bien sÃ»r, pour
>vos autres partitions et vos autres disques, si vous en avez).
>
>
><pre caption="Un exemple complet de /etc/fstab">
>/dev/hda1 /boot ext2 noauto,noatime 1 2
>/dev/hda2 none swap sw 0 0
>/dev/hda3 / ext3 noatime 0 1
>
>none /proc proc defaults 0 0
>none /dev/shm tmpfs nodev,nosuid,noexec 0 0
>
>/dev/cdroms/cdrom0 /mnt/cdrom auto noauto,user 0 0
></pre>
>
>
>L'option <c>auto</c> indique Ã  <c>mount</c> de tenter de deviner le type du
>systÃ¨me de fichiers (ce qui est recommandÃ© pour les pÃ©riphÃ©riques amovibles
>puisqu'ils peuvent contenir diffÃ©rents types de systÃ¨mes de fichiers). L'option
><c>user</c> permet aux utilisateurs (autres que root) de monter le systÃ¨me de
>fichiers (en l'occurrence celui prÃ©sent sur le CD-ROM).
>
>
>
>Utilisez l'exemple ci-dessus pour crÃ©er votre <path>/etc/fstab</path>. Si vous
>utilisez un systÃ¨me SPARC, vous devriez Ã©galement ajouter la ligne
>suivante Ã  <path>/etc/fstab</path>&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ajouter le systÃ¨me de fichiers openprom Ã  /etc/fstab">
>none /proc/openprom openpromfs defaults 0 0
></pre>
>
>
>Relisez votre <path>/etc/fstab</path>, sauvegardez, puis quittez l'Ã©diteur.
>
>
></body>
></subsection>
></section>
><section>
><title>Information rÃ©seau</title>
><subsection>
><title>Nom d'hÃ´te, nom de domaine, etc.</title>
><body>
>
>
>Une des choses que chaque utilisateur doit faire est nommer son PC. Cela
>peut sembler aisÃ©, mais de <e>nombreux</e> utilisateurs ont bien du mal Ã 
>trouver un nom appropriÃ© pour leur PC-Linux. Afin d'accÃ©lÃ©rer les choses,
>dites-vous que le nom que vous choisissez maintenant pourra Ãªtre changÃ© plus
>tard. Si vous Ãªtes embÃªtÃ©, nommez temporairement votre systÃ¨me <c>tux</c> et
>choisissez <c>homenetwork</c> comme nom de domaine.
>
>
>
>Nous utiliserons ces valeurs dans les exemples suivants. PremiÃ¨rement,
>dÃ©finissons le nom d'hÃ´te&nbsp;:
>
>
><pre caption="DÃ©finir le nom d'hÃ´te">
># nano -w /etc/conf.d/hostname
><comment>(Attribuez le nom de votre machine Ã  la variable HOSTNAME.)</comment>
>HOSTNAME="tux"
></pre>
>
>
>DeuxiÃ¨mement, dÃ©finissons le nom de domaine&nbsp;:
>
>
><pre caption="DÃ©finir le nom de domaine">
># nano -w /etc/conf.d/domainname
><comment>(Attribuez le nom de votre domaine Ã  la variable DNSDOMAIN.)</comment>
>DNSDOMAIN="mondomaine"
></pre>
>
>
>Si vous avez un domaine NIS, vous devez Ã©galement le dÃ©finir&nbsp;: (Si vous
>ne savez pas ce qu'est un domaine NIS, vous n'en avez certainement pas.)
>
>
><pre caption="DÃ©finir le domaine NIS">
># nano -w /etc/conf.d/domainname
><comment>(Attribuez le nom de votre domaine Ã  la variable NISDOMAIN.)</comment>
>NISDOMAIN="mondomaineNIS"
></pre>
>
>
>Maintenant, ajoutez le script <c>domainname</c> au niveau d'exÃ©cution
>Â«&nbsp;default&nbsp;Â»&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ajouter domainname au niveau d'exÃ©cution Â« default Â»">
># rc-update add domainname default
></pre>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>Configurer le rÃ©seau</title>
><body>
>
>
>Si vous Ã©prouvez une sensation de dÃ©jÃ -vu, souvenez-vous que les paramÃ¨tres
>rÃ©seau que vous avez dÃ©finis au dÃ©but de l'installation ne concernaient que
>l'installation elle-mÃªme. Vous devez maintenant vous attarder Ã  la configuration
>permanente du rÃ©seau pour votre systÃ¨me Gentoo.
>
>
><note>
>Ce manuel dÃ©taille la <uri link="?part=4">configuration rÃ©seau</uri>, y compris
>les ponts, le couplage d'interface, les rÃ©seaux 802.1Q et sans fil, plus loin.
></note>
>
>
>Toute l'information rÃ©seau est rassemblÃ©e dans <path>/etc/conf.d/net</path>. Ce
>fichier utilise une syntaxe simple mais pas nÃ©cessairement intuitive si vous ne
>savez pas comment paramÃ©trer manuellement un rÃ©seau. Pas d'inquiÃ©tude, tout
>vous sera expliquÃ©. Un exemple commentÃ© complet se trouve dans le fichier
><path>/etc/conf.d/net.example</path>.
>
>
>
>DHCP est utilisÃ© par dÃ©faut et ne demande aucune intervention de votre part.
>
>
>
>Si vous devez configurer votre rÃ©seau soit pour spÃ©cifier des options
>particuliÃ¨res pour DHCP, soit parce que vous n'utilisez pas DHCP, ouvrez le
>fichier <path>/etc/conf.d/net</path> avec votre Ã©diteur favori&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ouvrir /etc/conf.d/net">
># nano -w /etc/conf.d/net
></pre>
>
>
>Vous devriez voir le fichier suivant&nbsp;:
>
>
><pre caption="Fichier /etc/conf.d/net par dÃ©faut">
># This blank configuration will automatically use DHCP for any net.*
># scripts in /etc/init.d. To create a more complete configuration,
># please review /etc/conf.d/net.example and save your configuration
># in /etc/conf.d/net (this file :]!).
></pre>
>
>
>Pour entrer une adresse fixe, un masque de rÃ©seau et une adresse de passerelle,
>vous devez dÃ©finir <c>config_eth0</c> et <c>routes_eth0</c>&nbsp;:
>
>
><pre caption="DÃ©finir une adresse statique pour eth0">
>config_eth0=( "192.168.0.2 netmask 255.255.255.0 brd 192.168.0.255" )
>routes_eth0=( "default gw 192.168.0.1" )
></pre>
>
>
>Pour utiliser DHCP et lui passer des options, dÃ©finissez les variables
><c>config_eth0</c> et <c>dhcp_eth0</c>&nbsp;:
>
>
><pre caption="Obternir une adresse IP automatiquement avec DHCP">
>config_eth0=( "dhcp" )
>dhcp_eth0="nodns nontp nonis"
></pre>
>
>
>Le fichier <path>/etc/conf.d/net.example</path> contient une sÃ©rie d'exemples
>commentÃ©s pour vous aider Ã  configurer votre rÃ©seau.
>
>
>
>Si vous avez plusieurs interfaces rÃ©seau, crÃ©ez des variables <c>iface_eth</c>
>supplÃ©mentaires telles que <c>iface_eth1</c>, <c>iface_eth2</c>, etc.
>
>
>
>Sauvegardez votre configuration, puis quittez l'Ã©diteur afin de poursuivre.
>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>Activer les connexions rÃ©seau automatiquement au dÃ©marrage</title>
><body>
>
>
>Pour que vos interfaces rÃ©seau soient activÃ©es automatiquement lors du
>dÃ©marrage, vous devez les ajouter au niveau d'exÃ©cution Â«&nbsp;default&nbsp;Â».
>Si vous avez des interfaces PCMCIA, vous devriez ignorer cette section puisque
>les interfaces PCMCIA sont activÃ©es par le script PCMCIA.
>
>
><pre caption="Ajouter net.eth0 au niveau d'exÃ©cution Â« default Â»">
># rc-update add net.eth0 default
></pre>
>
>
>Si vous avez plusieurs interfaces rÃ©seau, vous devez crÃ©er les scripts
>appropriÃ©s (<path>net.eth1</path>, <path>net.eth2</path> etc.). Pour ce faire,
>utilisez <c>ln</c>&nbsp;:
>
>
><pre caption="CrÃ©er des scripts d'initialisation supplÃ©mentaires">
># cd /etc/init.d
># ln -s net.eth0 net.eth1
># rc-update add net.eth1 default
></pre>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>Noter l'information relative au rÃ©seau</title>
><body>
>
>
>Vous devez maintenant fournir Ã  Linux l'information relative Ã  votre rÃ©seau.
>Cela est dÃ©fini dans <path>/etc/hosts</path> et permet de faire le lien entre
>les noms d'hÃ´tes et les adresses IP pour les hÃ´tes qui ne sont pas gÃ©rÃ©s par le
>serveur de noms. Par exemple, si votre rÃ©seau interne consiste en trois
>ordinateurs nommÃ©s <c>jenny</c> (192.168.0.5), <c>benny</c> (192.168.0.6) et
><c>tux</c> (192.168.0.7 - le prÃ©sent systÃ¨me), vous devriez ouvrir
><path>/etc/hosts</path> et y inscrire&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ouvrir /etc/hosts">
># nano -w /etc/hosts
></pre>
>
><pre caption="Noter l'information rÃ©seau">
>127.0.0.1 localhost
>192.168.0.5 jenny.homenetwork jenny
>192.168.0.6 benny.homenetwork benny
>192.168.0.7 tux.homenetwork tux
></pre>
>
>
>Si votre systÃ¨me est le seul systÃ¨me en prÃ©sence (ou si votre serveur de noms
>gÃ¨re la rÃ©solution de tous les noms d'hÃ´tes), une seule ligne suffit. Par
>exemple, si vous voulez appeler votre systÃ¨me <c>tux</c>&nbsp;:
>
>
><pre caption="/etc/hosts pour les PC solitaires ou complÃ¨tement intÃ©grÃ©s">
>127.0.0.1 localhost tux
></pre>
>
>
>Sauvegardez et quittez l'Ã©diteur afin de poursuivre.
>
>
>
>Si vous n'avez pas de PCMCIA, vous pouvez maintenant poursuivre avec <uri
>link="#doc_chap3">Information systÃ¨me</uri>. Les utilisateurs de PCMCIA
>devraient lire ce qui suit&nbsp;:
>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>Facultatif&nbsp;: Activer PCMCIA</title>
><body>
>
><note>
>pcmcia-cs est uniquement disponible sur les plates-formes x86, AMD64 et PPC.
></note>
>
>
>Les utilisateurs de PCMCIA devraient d'abord installer le paquet
><c>pcmcia-cs</c>. Les utilisateurs de noyaux 2.6.x doivent aussi installer ce
>paquet mÃªme si les pilotes installÃ©s par ce paquet ne seront pas utilisÃ©s.
>L'ajout de <c>USE="-X"</c> est nÃ©cessaire pour Ã©viter d'installer xorg-x11 en
>mÃªme temps&nbsp;:
>
>
><pre caption="Installer pcmcia-cs">
># USE="-X" emerge pcmcia-cs
></pre>
>
>
>Lorsque <c>pcmcia-cs</c> est installÃ©, ajoutez <c>pcmcia</c> au
>niveau d'exÃ©cution Â«&nbsp;default&nbsp;Â».
>
>
><pre caption="Ajouter pcmcia au niveau d'exÃ©cution Â« default Â»">
># rc-update add pcmcia default
></pre>
>
></body>
></subsection>
></section>
><section>
><title>Information systÃ¨me</title>
><subsection>
><title>Mot de passe root</title>
><body>
>
>
>Pour commencer, dÃ©finissons le mot de passe root en tapant&nbsp;:
>
>
><pre caption="DÃ©finition du mot de passe root">
># passwd
></pre>
>
>
>Si vous voulez pouvoir vous identifier en tant que root en passant par la console
>sÃ©rie, ajoutez <c>tts/0</c> Ã  <path>/etc/securetty</path>&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ajout de tts/0 Ã  /etc/securetty">
># echo "tts/0" &gt;&gt; /etc/securetty
></pre>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>Informations sur le systÃ¨me</title>
><body>
>
>
>Gentoo utilise <path>/etc/rc.conf</path> pour la configuration gÃ©nÃ©rale qui
>s'applique Ã  l'ensemble du systÃ¨me. Ouvrez <path>/etc/rc.conf</path> et
>apprÃ©ciez les commentaires qui s'y trouvent&nbsp;:)
>
>
><pre caption="Ouvrir /etc/rc.conf">
># nano -w /etc/rc.conf
></pre>
>
>
>Ensuite, sauvez votre fichier et quittez votre Ã©diteur.
>
>
>
>Comme vous pouvez le voir, ce fichier est gÃ©nÃ©reusement commentÃ© afin de vous
>aider Ã  paramÃ©trer les diffÃ©rentes variables relatives Ã  la configuration.
>Vous pouvez configurer votre systÃ¨me pour qu'il utilise unicode. Vous pouvez
>aussi dÃ©finir votre Ã©diteur par dÃ©faut et votre gestionnaire d'affichage
>prÃ©fÃ©rÃ© (gdm ou kdm).
>
>
>
>Le fichier <path>/etc/conf.d/keymaps</path> permet de spÃ©cifier le type de
>clavier que vous utilisez.
>
>
>
><pre caption="Ouvrir /etc/conf.d/keymaps">
># nano -w /etc/conf.d/keymaps
></pre>
>
>
>La valeur que vous attribuez Ã  la variable <c>KEYMAP</c> dÃ©termine la
>disposition des touches de votre clavier. Si vous choisissez une valeur
>incorrecte, vous serez surpris quand vous taperez sur votre clavier.
>
>
><note>
>Si vous utilisez un systÃ¨me SPARC avec USB ou un clone de SPARC,
>vous devrez peut-Ãªtre sÃ©lectionner une disposition clavier Â«&nbsp;i386&nbsp;Â»
>(par exemple Â«&nbsp;us&nbsp;Â») au lieu de Â«&nbsp;sunkeymap&nbsp;Â».
>La plupart des systÃ¨mes PPC utilisent des dÃ©finitions de clavier x86. Si
>vous voulez utiliser une disposition ADB, vous devez l'activer quand vous
>compilez votre noyau et ensuite dÃ©finir une disposition mac/ppc dans
><path>/etc/conf.d/keymaps</path>.
></note>
>
>
>Quand vous en avez terminÃ© avec le fichier <path>/etc/conf.d/keymaps</path>,
>sauvez et quittez.
>
>
>
>Ensuite, Ã©ditez le fichier <path>/etc/conf.d/clock</path> pour configurer les
>options relatives Ã  l'horloge&nbsp;:
>
>
><pre caption="Ouvrir /etc/conf.d/clock">
># nano -w /etc/conf.d/clock
></pre>
>
>
>Si l'horloge de votre PC n'utilise pas l'heure UTC, vous devez ajouter
><c>CLOCK="local"</c> Ã  ce fichier sans quoi votre horloge fera des Â«&nbsp;saut
>d'heures&nbsp;Â». Si vous utilisez Windows sur la mÃªme machine, vous devez
>spÃ©cifier <c>CLOCK="local"</c> et mettre votre PC Ã  l'heure locale.
>
>
>
>Lorsque vous aurez fini de configurer <path>/etc/conf.d/clock</path>,
>sauvegardez puis quittez l'Ã©diteur.
>
>
>
>Si vous n'installez pas Gentoo sur un systÃ¨me IBM PPC64, poursuivez
>votre lecture avec l'<uri link="?part=1&amp;chap=9">installation des outils
>systÃ¨mes</uri>.
>
>
></body>
></subsection>
><subsection>
><title>Configurer la console</title>
><body>
>
><note>
>Ceci ne concerne que les systÃ¨mes PPC64.
></note>
>
>
>Si vous utilisez Gentoo dans un systÃ¨me PPC64, vous devez dÃ©commenter la ligne
>appropriÃ©e hvc dans le fichier <path>/etc/inittab</path> pour obtenir une
>invite sur la console virtuelle.
>
>
><pre caption="Activer hvc ou hvsi dans /etc/inittab">
>hvc0:12345:respawn:/sbin/agetty -L 9600 hvc0
>hvsi:12345:respawn:/sbin/agetty -L 19200 hvsi0
></pre>
>
>
>Veuillez vÃ©rifier que la console que vous venez d'activer se trouve dans le
>fichier <path>/etc/securetty</path>.
>
>
>
>Poursuivez votre lecture avec l'<uri link="?part=1&amp;chap=9">installation des
>outils systÃ¨mes</uri>.
>
>
></body>
></subsection>
></section>
></sections>

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