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Gentoo's Bugzilla – Attachment 57242 Details for
Bug 89764
[fr] revision for the handbook-alpha French translation
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hb-install-alpha-disk.xml
hb-install-alpha-disk.xml (text/plain), 24.86 KB, created by
Clément VARALDI
on 2005-04-26 00:34:30 UTC
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)
Description:
hb-install-alpha-disk.xml
Filename:
MIME Type:
Creator:
Clément VARALDI
Created:
2005-04-26 00:34:30 UTC
Size:
24.86 KB
patch
obsolete
><?xml version='1.0' encoding='UTF-8'?> ><!DOCTYPE sections SYSTEM "/dtd/book.dtd"> > ><!-- The content of this document is licensed under the CC-BY-SA license --> ><!-- See http://creativecommons.org/licenses/by-sa/1.0 --> > ><!-- $Header: /var/www/www.gentoo.org/raw_cvs/gentoo/xml/htdocs/doc/en/handbook/2005.0/hb-install-alpha-disk.xml,v 1.2 2005/03/28 08:20:02 swift Exp $ --> > ><sections> > ><version>4.00</version> ><date>2005-03-15</date> > ><section> ><title>Introduction aux périphériques de bloc</title> ><subsection> ><title>Les périphériques de bloc</title> ><body> > ><p> >Nous allons regarder de manière approfondie la question des disques sous Gentoo >Linux et sous Linux en général, y compris les systèmes de fichiers de Linux, >les partitions et les périphériques de bloc. Ensuite, une fois que vous serez >familiarisé avec les entrées et sorties des disques et des systèmes de >fichiers, vous serez guidé pour réaliser la mise en place des partitions et des >systèmes de fichiers pour votre installation de Gentoo Linux. ></p> > ><p> >Pour commencer, nous allons présenter les <e>périphériques de bloc</e>. Le >plus célèbre étant certainement celui qui représente le premier disque dur SCSI >connu sous le nom de <path>/dev/sda</path>. ></p> > ><p> >Les périphériques de bloc cités ci-dessus représentent une interface abstraite >vers les disques. Les programmes utilisateur peuvent les utiliser pour >interagir avec votre disque sans devoir se tracasser si vos périphériques sont >IDE, SCSI ou autres. Le programme peut simplement utiliser l'espace sur le >disque comme un groupe de blocs continus de 512 octets accessibles >aléatoirement. ></p> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>« Slices »</title> ><body> > ><p> >Bien qu'il soit théoriquement possible d'utiliser un disque complet pour >héberger votre système Linux, ceci n'est pratiquement jamais fait. à la place, >les périphériques de bloc sont divisés pour être plus petits et plus facilement >gérables. Sur les systèmes Alpha, ces subdivisions sont appelées <e>slices</e> >(tranches). ></p> > ></body> ></subsection> ></section> ><section> ><title>Concevoir un plan de partitionnement</title> ><subsection> ><title>Plan de partitionnement par défaut</title> ><body> > ><p> >à titre d'exemple, nous utilisons le plan de partitionnement suivant dans ce >manuel : ></p> > ><table> ><tr> > <th>« Slice »</th> > <th>Description</th> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda1</path></ti> > <ti>Partition de mémoire virtuelle</ti> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda2</path></ti> > <ti>Racine (root)</ti> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda3</path></ti> > <ti>Tout le disque (nécessaire)</ti> ></tr> ></table> > ><p> >Si vous êtes intéressé de savoir la taille qu'une partition doit avoir, ou même >de combien de partitions vous avez besoin, poursuivez la lecture de ce >chapitre. Sinon, poursuivez avec le chapitre <uri link="#fdisk_SRM">Partitionner >votre disque avec fdisk (uniquement SRM)</uri> ou avec le chapitre ><uri link="#fdisk_ARC">Partitionner votre disque avec fdisk (uniquement >ARC/AlphaBIOS</uri>. ></p> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Combien et de quelle taille ?</title> ><body> > ><p> >Le nombre de partitions dépend beaucoup de votre environnement. Par exemple, >si vous avez beaucoup d'utilisateurs, vous désirerez certainement avoir >votre <path>/home</path> séparé afin d'améliorer la sécurité et de simplifier >les sauvegardes. Si vous installez Gentoo comme serveur de courrier, votre ><path>/var</path> devrait être séparé étant donné que tous les courriels sont >stockés dans <path>/var</path>. Un bon choix de système de fichiers va vous >permettre d'améliorer les performances. Les serveurs de jeu auront un ><path>/opt</path> séparé étant donné que la plupart des serveurs de jeux sont >installés à cet endroit. La raison est la même que pour ><path>/home</path> : sécurité et sauvegarde. ></p> > ><p> >Comme vous pouvez le voir, cela dépend beaucoup de ce que vous souhaitez faire. >Séparer les partitions ou volumes procure les avantages suivants : ></p> > ><ul> ><li> > Vous pouvez choisir le système de fichiers le plus performant pour chaque > partition ou volume ; ></li> ><li> > Votre système entier ne risque pas d'arriver à court d'espace disque libre si > un outil défectueux sature l'espace disque d'une partition ou d'un > volume ; ></li> ><li> > Si nécessaire, les vérifications des systèmes de fichiers durent moins > longtemps, vu que de multiples vérifications peuvent être faites en parallèle > (quoique cet avantage est plus important avec plusieurs disques qu'avec > plusieurs partitions) ; ></li> ><li> > La sécurité peut être améliorée en montant certaines partitions ou volumes > en lecture seulement, en utilisant nosuid (les bits suid sont ignorés) et > noexec (les bits exécutables sont ignorés), etc. ></li> ></ul> > ><p> >Cependant, de multiples partitions ont un gros désavantage : si elles ne >sont pas configurées correctement, vous risquez d'obtenir un système avec >beaucoup d'espace libre sur une partition et plus du tout sur une autre. ></p> > ></body> ></subsection> ></section> ><section id="fdisk_SRM"> ><title>Partitionner votre disque avec fdisk (uniquement SRM)</title> ><subsection> ><body> > ><p> >Les parties suivantes expliquent comment créer l'exemple de plan de >« slices » décrit précédemment : ></p> > ><table> ><tr> > <th>« Slice »</th> > <th>Description</th> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda1</path></ti> > <ti>« Slice » de mémoire virtuelle</ti> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda2</path></ti> > <ti>« Slice » principal</ti> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda3</path></ti> > <ti>Disque complet (nécessaire)</ti> ></tr> ></table> > ><p> >Changez votre plan de « slice » comme vous le souhaitez. ></p> > > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Identifier les disques disponibles</title> ><body> > ><p> >Pour trouver quels disques vous utilisez, utilisez les commandes suivantes : ></p> > ><pre caption="Identifier les disques disponibles"> ># <i>dmesg | grep 'drive$'</i> <comment>(Pour des disques IDE)</comment> ># <i>dmesg | grep 'scsi'</i> <comment>(Pour des disques SCSI)</comment> ></pre> > ><p> >à partir de cet affichage, vous devriez voir quels disques sont détectés >et leurs entrées <path>/dev</path> respectives. Dans les parties suivantes, nous >supposons que le disque est un disque SCSI sur <path>/dev/sda</path>. ></p> > ><p> >à présent, lancez <c>fdisk</c> : ></p> > ><pre caption="Lancement de fdisk"> ># <i>fdisk /dev/sda</i> ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Supprimer tous les « slices »</title> ><body> > > ><p> >Si votre disque dur est totalement vierge, vous devez d'abord créer le >« label » disque de type BSD. ></p> > ><pre caption="Créer le « label » disque de type BSD"> >Command (m for help): <i>b</i> >/dev/sda contains no disklabel. >Do you want to create a disklabel? (y/n) <i>y</i> ><comment>Des infos relatives au disque vont défiler.</comment> >3 partitions: ># start end size fstype [fsize bsize cpg] > c: 1 5290* 5289* unused 0 0 ></pre> > ><p> >Nous allons commencer par supprimer tous les « slices » ><e>excepté</e> le « slice » c (requis par l'utilisation de >« label » disque de type BSD). La suite montre comment supprimer un >« slice » (dans l'exemple, nous utilisons a). Répétez la procédure >pour supprimer tous les autres « slices » (de nouveau, excepté le >« slice » c). ></p> > ><p> >Utilisez <c>p</c> pour voir tous les « slices » existants. <c>d</c> >est utilisé pour supprimer un « slice ». ></p> > ><pre caption="Suppression d'un « slice »"> >BSD disklabel command (m for help): <i>p</i> > >8 partitions: ># start end size fstype [fsize bsize cpg] > a: 1 235* 234* 4.2BSD 1024 8192 16 > b: 235* 469* 234* swap > c: 1 5290* 5289* unused 0 0 > d: 469* 2076* 1607* unused 0 0 > e: 2076* 3683* 1607* unused 0 0 > f: 3683* 5290* 1607* unused 0 0 > g: 469* 1749* 1280 4.2BSD 1024 8192 16 > h: 1749* 5290* 3541* unused 0 0 > >BSD disklabel command (m for help): <i>d</i> >Partition (a-h): <i>a</i> ></pre> > ><p> >Après avoir répété ce processus pour tous les « slices », un affichage >devrait vous montrer quelque chose de similaire à ceci : ></p> > ><pre caption="Affichage d'un plan vide"> >BSD disklabel command (m for help): <i>p</i> > >3 partitions: ># start end size fstype [fsize bsize cpg] > c: 1 5290* 5289* unused 0 0 ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Création du « slice » de mémoire virtuelle</title> ><body> > ><p> >Sur un système Alpha, vous n'avez pas besoin d'une partition de démarrage >séparée. Cependant, le premier cylindre ne peut pas être utilisé vu que l'image ><c>aboot</c> y sera placée. ></p> > ><p> >Nous allons créer un « slice » de mémoire virtuelle qui commence au >troisième cylindre, avec une taille totale de 1 Go. Utilisez <c>n</c> >pour créer un nouveau « slice ». Après avoir créé le >« slice », nous allons changer son type à <c>1</c> (chiffre un) pour >indiquer <e>swap</e>. ></p> > ><pre caption="Création du « slice » de mémoire virtuelle"> >BSD disklabel command (m for help): <i>n</i> >Partition (a-p): <i>a</i> >First cylinder (1-5290, default 1): <i>3</i> >Last cylinder or +size or +sizeM or +sizeK (3-5290, default 5290): <i>+1024M</i> > >BSD disklabel command (m for help): <i>t</i> >Partition (a-c): <i>a</i> >Hex code (type L to list codes): <i>1</i> ></pre> > ><p> >Après ces étapes, vous devriez avoir un plan similaire au suivant : ></p> > ><pre caption="Schéma de « slice » après la création du « slice » de mémoire virtuelle"> >BSD disklabel command (m for help): <i>p</i> > >3 partitions: ># start end size fstype [fsize bsize cpg] > a: 3 1003 1001 swap > c: 1 5290* 5289* unused 0 0 ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Création du « slice » principal</title> ><body> > ><p> >A présent, nous allons créer le « slice » principal qui commencera au >premier cylindre <e>après</e> le « slice » de mémoire virtuelle. >Utilisez la commande <c>p</c> pour voir où se termine le « slice » de >mémoire virtuelle. Dans notre exemple, c'est à 1003, de sorte que la partition >principale commence à 1004. ></p> > ><p> >Un autre problème est qu'il y a actuellement un bogue dans <c>fdisk</c> qui lui >fait croire que le nombre de cylindres disponibles est un au dessus du vrai >nombre de cylindres. En d'autres termes, quand on vous demande le dernier >cylindre, diminuez le nombre de cylindres (dans cet exemple : 5290) de un. ></p> > ><p> >Quand la partition est créée, nous changeons le type à <c>8</c> pour <e>ext2</e>. ></p> > ><pre caption="Création du « slice » principal"> >D disklabel command (m for help): <i>n</i> >Partition (a-p): <i>b</i> >First cylinder (1-5290, default 1): <i>1004</i> >Last cylinder or +size or +sizeM or +sizeK (1004-5290, default 5290): <i>5289</i> > >BSD disklabel command (m for help): <i>t</i> >Partition (a-c): <i>b</i> >Hex code (type L to list codes): <i>8</i> ></pre> > ><p> >Votre plan de « slice » devrait maintenant ressembler à ceci : ></p> > ><pre caption="Affichage du schéma de « slice »"> >BSD disklabel command (m for help): <i>p</i> > >3 partitions: ># start end size fstype [fsize bsize cpg] > a: 3 1003 1001 swap > b: 1004 5289 4286 ext2 > c: 1 5290* 5289* unused 0 0 ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Sauvegarder le schéma de « slice » et quitter</title> ><body> > ><p> >Quittez <c>fdisk</c> en tapant <c>w</c>. Ceci va également sauvez votre plan >de « slice ». ></p> > ><pre caption="Sauver et quitter fdisk"> >Command (m for help): <i>w</i> ></pre> > ><p> >Maintenant que vos « slice » sont créés, vous pouvez continuer avec la ><uri link="#filesystems">création des systèmes de fichiers</uri>. ></p> > ></body> ></subsection> ></section> ><section id="fdisk_ARC"> ><title>Utiliser fdisk pour partitionner votre disque (uniquement ARC/AlphaBIOS)</title> ><subsection> ><body> > ><p> >Cette section décrit comment partitionner votre disque selon le plan >précédemment indiqué, c'est-à -dire : ></p> > ><table> ><tr> > <th>Partition</th> > <th>Description</th> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda1</path></ti> > <ti>Partition de démarrage (« boot »)</ti> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda2</path></ti> > <ti>Partition de mémore virtuelle (« swap »)</ti> ></tr> ><tr> > <ti><path>/dev/sda3</path></ti> > <ti>Partition principale</ti> ></tr> ></table> > ><p> >Vous pouvez utiliser un autre plan de partitionnement si vous le désirez. ></p> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Identifier les disques disponibles</title> ><body> > ><p> >Pour déterminer quels disques sont disponibles sur votre système, utilisez les >commandes suivantes : ></p> > ><pre caption="Identifier les disques disponibles"> ># <i>dmesg | grep 'drive$'</i> <comment>(Disques IDE.)</comment> ># <i>dmesg | grep 'scsi'</i> <comment>(Disques SCSI.)</comment> ></pre> > ><p> >Le résultat de ces commandes devrait vous permettre de voir quels disques sont >installés ainsi que leur chemin d'accès dans <path>/dev</path>. La suite de ce >texte utilise un disque SCSI <path>/dev/sda</path> à titre d'exemple. ></p> > ><p> >Lancez <c>fdisk</c> : ></p> > ><pre caption="Lancer fdisk"> ># <i>fdisk /dev/sda</i> ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Supprimer toutes les partitions</title> ><body> > ><p> >Si votre disque est complètement vierge, vous devez d'abord créer un label de >disque DOS. ></p> > ><pre caption="Créer un label de disque DOS"> >Command (m for help): <i>o</i> >Building a new DOS disklabel. ></pre> > ><p> >Si le disque contient déjà des partitions, commenez par toutes les supprimer. >L'exemple suivant utilise <c>1</c> pour supprimer la première partition, >répétez l'opération pour les autres partitions. ></p> > ><p> >Utilisez <c>p</c> pour afficher la liste des partitions et <c>d</c> pour >supprimer une partition. ></p> > ><pre caption="Supprimer une partition"> >command (m for help): <i>p</i> > >Disk /dev/sda: 9150 MB, 9150996480 bytes >64 heads, 32 sectors/track, 8727 cylinders >Units = cylinders of 2048 * 512 = 1048576 bytes > > Device Boot Start End Blocks Id System >/dev/sda1 1 478 489456 83 Linux >/dev/sda2 479 8727 8446976 5 Extended >/dev/sda5 479 1433 977904 83 Linux Swap >/dev/sda6 1434 8727 7469040 83 Linux > >command (m for help): <i>d</i> >Partition number (1-6): <i>1</i> ></pre> > > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Créer la partition de démarrage (« boot »)</title> ><body> > ><p> >Sur un système Alpha qui utilise MILO pour démarrer, il faut créer une petite >partition vfat. ></p> > ><pre caption="Créer la partition de démarrage"> >Command (m for help): <i>n</i> >Command action > e extended > p primary partition (1-4) ><i>p</i> >Partition number (1-4): <i>1</i> >First cylinder (1-8727, default 1): <i>1</i> >Last cylinder or +size or +sizeM or +sizeK (1-8727, default 8727): <i>+16M</i> > >Command (m for help): <i>t</i> >Selected partition 1 >Hex code (type L to list codes): <i>6</i> >Changed system type of partition 1 to 6 (FAT16) ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Créer la partition de mémoire virtuelle</title> ><body> > ><p> >Nous allons créer une partition de mémoire virtuelle de 1 Go qui commence >au troisième cylindre. Utilisez <c>n</c> pour créer une nouvelle partition. ></p> > ><pre caption="Créer la partition de mémoire virtuelle"> >Command (m for help): <i>n</i> >Command action > e extended > p primary partition (1-4) ><i>p</i> >Partition number (1-4): <i>2</i> >First cylinder (17-8727, default 17): <i>17</i> >Last cylinder or +size or +sizeM or +sizeK (17-8727, default 8727): <i>+1000M</i> > >Command (m for help): <i>t</i> >Partition number (1-4): <i>1</i> >Hex code (type L to list codes): <i>82</i> >Changed system type of partition 2 to 82 (Linux swap) ></pre> > ><p> >Votre table de partitions devrait maintenant ressembler à : ></p> > ><pre caption="Table de partition après la création du swap"> >Command (m for help): <i>p</i> > >Disk /dev/sda: 9150 MB, 9150996480 bytes >64 heads, 32 sectors/track, 8727 cylinders >Units = cylinders of 2048 * 512 = 1048576 bytes > > Device Boot Start End Blocks Id System >/dev/sda1 1 16 16368 6 FAT16 >/dev/sda2 17 971 977920 82 Linux swap ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Créer la partition principale</title> ><body> > ><p> >Il nous reste à créer la partition principale. Utilisez <c>n</c> une nouvelle >fois. ></p> > ><pre caption="Créer la partition principale"> >Command (m for help): <i>n</i> >Command action > e extended > p primary partition (1-4) ><i>p</i> >Partition number (1-4): <i>3</i> >First cylinder (972-8727, default 972): <i>972</i> >Last cylinder or +size or +sizeM or +sizeK (972-8727, default 8727): <i>8727</i> ></pre> > ><p> >Votre table de partitions devrait maintenant ressembler à : ></p> > ><pre caption="Table de partition après la création de la partition principale"> >Command (m for help): <i>p</i> > >Disk /dev/sda: 9150 MB, 9150996480 bytes >64 heads, 32 sectors/track, 8727 cylinders >Units = cylinders of 2048 * 512 = 1048576 bytes > > Device Boot Start End Blocks Id System >/dev/sda1 1 16 16368 6 FAT16 >/dev/sda2 17 971 977920 82 Linux swap >/dev/sda3 972 8727 7942144 83 Linux ></pre> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Sauver la table des partitions et quitter</title> ><body> > ><p> >Tapez <c>w</c> pour enregistrer votre table de partitions et quitter fdisk. ></p> > ><pre caption="Sauver et quitter fdisk"> >Command (m for help): <i>w</i> ></pre> > ><p> >Maintenant que vos « slice » sont créés, vous pouvez continuer avec la ><uri link="#filesystems">création des systèmes de fichiers</uri>. ></p> > ></body> ></subsection> ></section> ><section id="filesystems"> ><title>Création des systèmes de fichiers</title> ><subsection> ><title>Introduction</title> ><body> > ><p> >Maintenant que vos partitions sont créées, il est temps d'y installer un >système de fichiers. Si vous ne vous souciez pas de quel système de fichiers >choisir et êtes satisfait de ceux que nous utilisons par défaut dans ce manuel, >continuez avec <uri link="#filesystems-apply">Application d'un système de >fichiers à une partition</uri>. Sinon, continuez à lire pour en apprendre plus >sur les systèmes de fichiers disponibles. ></p> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Systèmes de fichiers ?</title> ><body> > ><p> >De nombreux systèmes de fichiers sont disponibles. La plupart d'entre eux sont >stables sur l'architecture Alpha. ></p> > ><p> ><b>ext2</b> est le système de fichiers original de Linux mais n'a pas de >metadonnées journalisées, ce qui signifie que la routine de vérification du >système de fichiers ext2 au démarrage peut prendre beaucoup de temps. à >présent, vous avez le choix entre plusieurs systèmes de fichiers journalisés >qui peuvent être vérifiés très rapidement et sont généralement préférés à leurs >homologues non journalisés. Les systèmes de fichiers journalisés évitent de >devoir attendre longtemps quand vous démarrez votre système et que vos systèmes >de fichiers sont dans un état instable. ></p> > ><p> ><b>ext3</b> est la version journalisée du système de fichiers ext2, qui fournit >des metadonnées journalisées pour une récupération rapide en plus d'autres >modes journalisés comme la journalisation de données complètes et ordonnées. >ext3 est un très bon système de fichiers fiable. Il offre généralement des >performances décentes dans la plupart des conditions. Il offre de bonnes >performances dans la plupart des cas grâce à un arbre balancé indexé par clé de >hachage. En résumé, ext3 est un excellent système de fichiers. ></p> > ><p> ><b>ReiserFS</b> est un système de fichiers basé sur les B*-tree qui a de très >bonnes performances et qui surpasse ext2 et ext3 dans le cas de l'utilisation >de petits fichiers (fichiers de moins de 4 ko), souvent avec un facteur allant >de 10 à 15. ReiserFS résiste aussi très bien à la montée en charge et a des >metadonnées journalisées. Depuis le noyau 2.4.18, ReiserFS est stable et peut >être utilisé aussi bien dans un système de fichiers destiné à une utilisation >générale que pour des cas extrêmes comme la création de grands systèmes de >fichiers et l'utilisation de nombreux petits fichiers ou de grands fichiers et >répertoires qui contiennent des dizaines de milliers de fichiers. ></p> > ><p> ><b>XFS</b> est un système de fichiers avec des métadonnées journalisées qui >possède un ensemble de fonctionnalités robustes et qui est optimisé pour la mise >à l'échelle. Nous ne recommandons ce système de fichiers que pour des systèmes >équipés d'unités de stockage SCSI haut de gamme ou connectés à des serveurs de >stockage « Fibre Channel », et munis d'un onduleur. Puisque XFS >utilise énormément le cache pour des données transitoires en mémoire vive, les >programmes mal conçus (ceux qui ne prennent pas les précautions suffisantes >quand ils écrivent les fichiers sur disque, et il y en a quelques uns) peuvent >perdre beaucoup de données si le système s'interrompt de manière inattendue. ></p> > ><p> ><b>JFS</b> est un système de fichiers journalisé à hautes performances d'IBM. >Il a été récemment déclaré prêt pour un usage en production, mais il n'y a pas >encore suffisamment d'information pour commenter sa stabilité générale de >manière positive ou négative. ></p> ></body> ></subsection> ><subsection id="filesystems-apply"> ><title>Application d'un système de fichiers à une partition</title> ><body> > ><p> >Pour créer un système de fichiers sur une partition ou un volume, chaque >système de fichiers fournit ses propres outils : ></p> > ><table> ><tr> > <th>Système de fichiers</th> > <th>Commande de création</th> ></tr> ><tr> > <ti>ext2</ti> > <ti><c>mkfs.ext2</c></ti> ></tr> ><tr> > <ti>ext3</ti> > <ti><c>mkfs.ext3</c></ti> ></tr> ><tr> > <ti>reiserfs</ti> > <ti><c>mkreiserfs</c></ti> ></tr> ><tr> > <ti>xfs</ti> > <ti><c>mkfs.xfs</c></ti> ></tr> ><tr> > <ti>jfs</ti> > <ti><c>mkfs.jfs</c></ti> ></tr> ></table> > ><p> >Par exemple, pour formater la partition racine (<path>/dev/sda2</path> >dans notre exemple) en ext3, nous utiliserons : ></p> > ><pre caption="Application d'un système de fichiers sur une partition"> ># <i>mkfs.ext3 /dev/sda2</i> ></pre> > ><p> >à présent, créons les systèmes de fichiers sur nos partitions (ou volumes logiques) >fraîchement créées. ></p> > ></body> ></subsection> ><subsection> ><title>Activation de la partition de mémoire virtuelle</title> ><body> > ><p> ><c>mkswap</c> est la commande utilisée pour initialiser la partition de mémoire >virtuelle : ></p> > ><pre caption="Création d'une signature de mémoire virtuelle"> ># <i>mkswap /dev/sda1</i> ></pre> > ><p> >Pour activer la partition de mémoire virtuelle, utilisez <c>swapon</c> : ></p> > ><pre caption="Activation de la partition de mémoire virtuelle"> ># <i>swapon /dev/sda1</i> ></pre> > ><p> >Créez et activez la partition de mémoire virtuelle maintenant. ></p> > ></body> ></subsection> ></section> ><section> ><title>Monter les partitions</title> ><body> > ><p> >Maintenant que nos partitions sont initialisées et contiennent un système de >fichiers, il est temps de les monter avec la commande <c>mount</c>. N'oubliez >pas de créer les points de montage nécessaires pour toutes les partitions que >vous avez créées. Par exemple, pour monter les partitions de démarrage et >racine : ></p> > ><warn> >à cause d'un bogue dans le paquet e2fsprogs, vous devez spécifier explicitement >le type ext3 avec l'option <c>mount -t ext3</c> quand vous montez une partition >qui contient un tel système de fichiers. ></warn> > ><pre caption="Monter les partitions"> ># <i>mount /dev/sda2 /mnt/gentoo</i> ><comment>(Avec une partition ext3 :)</comment> ># <i>mount -t ext3 /dev/sda2 /mnt/gentoo</i> ></pre> > ><note> >Si vous installez <path>/tmp</path> sur une partition séparée, n'oubliez pas de >définir les permissions nécessaires après avoir monté la partition. Utilisez la >commande <c>chmod 1777 /mnt/gentoo/tmp</c>. La même remarque s'applique à ><path>/var/tmp</path>. ></note> > ><p> >Nous devrons également monter le système de fichiers proc (une interface >virtuelle avec le noyau) sur <path>/proc</path>, mais nous devons d'abord placer >nos fichiers sur les partitions. ></p> > ><p> >Continuez avec <uri link="?part=1&chap=5">Installer les fichiers >d'installation de Gentoo</uri>. ></p> > ></body> ></section> ></sections>
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