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Gentoo's Bugzilla – Attachment 26742 Details for
Bug 43553
[fr] Corrections for the french version of desktop.xml - Guide de configuration du bureau Gentoo Linux
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desktop.xml - Corrected translated XML file
desktop.xml (text/plain), 46.47 KB, created by
Olivier Fisette (RETIRED)
on 2004-03-02 20:00:56 UTC
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)
Description:
desktop.xml - Corrected translated XML file
Filename:
MIME Type:
Creator:
Olivier Fisette (RETIRED)
Created:
2004-03-02 20:00:56 UTC
Size:
46.47 KB
patch
obsolete
><?xml version='1.0' encoding="UTF-8"?> ><!-- $Header: /var/www/www.gentoo.org/raw_cvs/gentoo/xml/htdocs/doc/fr/desktop.xml,v 1.12 2004/02/24 22:15:46 neysx Exp $ --> ><!DOCTYPE guide SYSTEM "/dtd/guide.dtd"> > ><guide link="/doc/fr/desktop.xml"> ><title>Guide de configuration du bureau Gentoo Linux</title> ><author title="Auteur"> > <!--zhen@gentoo.org-->John P. Davis ></author> ><author title="Auteur"> > <mail link="g2boojum@gentoo.org">Grant Goodyear</mail> ></author> ><author title="Correcteur"> > <mail link="swift@gentoo.org">Sven Vermeulen</mail> ></author> ><author title="Correcteur"> > <mail link="klasikahl@gentoo.org">Zack Gilburd</mail> ></author> ><author title="Correcteur"> > <mail link="bennyc@gentoo.org">Benny Chuang</mail> ></author> ><author title="Correcteur"> > <mail link="erwin@gentoo.org">Erwin</mail> ></author> ><author title="Traducteur"> > <mail link="frlinux@frlinux.net">FRLinux</mail> ></author> ><author title="Traducteur"> > <mail link="neysx@gentoo.org">Xavier Neys</mail> ></author> > ><abstract> >Ce guide vous explique comment configurer votre bureau sous Gentoo Linux. >Nous étudierons plus particulièrement la configuration de X, KDE, GNOME, ALSA (le son), >postfix (courrier électronique) et Samba (interopérabilité UNIX/windows). ></abstract> > ><license/> > ><version>1.4.14</version> ><date>17 janvier 2004</date> > ><chapter> ><title>Préliminaires</title> ><section> > ><body> > ><p> >Il va sans dire que vous devez avoir installé Gentoo >(<uri>http://www.gentoo.org/doc/fr/gentoo-x86-install.xml</uri>). Ensuite, vous >devez télécharger la dernière version de <e>Portage</e>. Nous vous conseillons >d'ailleurs la lecture du <uri >link="http://www.gentoo.org/doc/fr/portage-user.xml">Guide de l'utilisateur >de Portage</uri>, mais les impatients se contenteront de taper : ></p> > ><pre caption = "Mise à jour de l'arbre de Portage"> ># <c>emerge sync</c> ></pre> > ><p> >Il me semble important d'expliquer mon choix concernant les paquets qui sont >abordés dans ce guide. Gentoo Linux contient en effet une liste très >impressionnante de gestionnaires de fenêtres, serveurs de courrier électronique >et autres logiciels. Les paquets choisis ici ne reflètent pas la préférence >des utilisateurs Gentoo mais plus mon propre choix en tant qu'utilisateur >capable de les paramétrer correctement. En d'autres mots, ce sont les paquets >qui sont utilisés sur mon bureau. ></p> > ><impo> >Il est conseillé de déselectionner les gestionnaires que vous ne voulez pas >utiliser en éditant <path>/etc/make.conf</path>. Dans la section <i>USE</i>, >ajoutez <e>-gnome -gtk</e> si vous utilisez KDE, ou bien <e>-kde -qt</e> si >vous comptez utiliser GNOME. ></impo> > ><warn> >Si vous rencontrez un bogue avec un de ces paquets, informez-nous en via ><uri>http://bugs.gentoo.org/</uri>. Ne les envoyez <e>pas</e> aux mainteneurs >de ces paquets (ex : KDE), les développeurs Gentoo s'en chargeront le cas >échéant. ></warn> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Installer XFree86</title> ><section> ><title>Installation</title> > ><body> > ><p> >Le processus d'installation de X prendra un certain temps, même sur un >système rapide. Ce système est relativement imposant, choisissez un bon livre >ou faites une petite sieste. ></p> > ><p> >Pour installer XFree86, tapez : ></p> > ><pre caption = "Installer XFree86"> ># <i>emerge xfree</i> ># <i>env-update && source /etc/profile</i> ></pre> > ><p> >Une fois cette longue procédure terminée, la configuration peut commencer. ></p> > ></body> ></section> > ><section> ><title>Configurer X</title> > ><body> > ><p> >J'aime bien utiliser l'outil de configuration en mode texte <c>xf86config</c> >pour configurer X, bien qu'il génère un fichier <path>/etc/X11/XF86Config</path> >qui ne soit pas très élégant. Avant de commencer, il vous faudra >consulter le manuel de votre moniteur et noter les fréquences de >rafraîchissement horizontales et verticales (mon Viewsonic G773 possède les >caractéristiques suivantes : horizontalement : 30-69 KHz, >verticalement : 55-90 KHz), le type et la quantité de mémoire (en Ko) >de votre carte vidéo (une carte Geforce avec 32768 Ko dans mon cas), ainsi que >le type de souris (le mienne est une Intellimouse connectée sur le port PS/2 >vu sur <path>/dev/psaux</path>). ></p> > ><pre caption = "Exécuter xf86config"> ># <c>/usr/X11R6/bin/xf86config</c> ></pre> > ><p> >Je choisis de ne pas émuler les 3 boutons puisque ma souris a 3 boutons. >N'oubliez pas d'ajouter le support XKB si vous possédez un clavier international ou si vous avez besoin d'un support pour plusieurs langues. Il vous faudra ensuite décider d'une résolution et du nombre de couleurs. J'aime utiliser >1280x1024 en 24bpp car mon Viewsonic ne peut pas mieux. Si vous n'avez jamais fait ceci, ne >soyez pas étonné de devoir exécuter <c>xf86config</c> plusieurs fois. ></p> > ><note> >Si vous ne connaissez pas les fréquences de rafraîchissement de votre moniteur, >essayez de faire une recherche sur Google par exemple ><uri>http://www.google.fr</uri>, en précisant le modèle et le fabriquant de >votre moniteur. Ces données sont généralement documentées dans les >spécifications. ></note> > ><p> >Vous pouvez aussi configurer XFree86 avec la commande <c>XFree86 >-configure</c>. Celle-ci créera un fichier de configuration ><path>XF86Config</path> dans le répertoire de l'utilisateur >root (<path>/root</path>). Ce fichier devrait permettre à XFree86 de >fonctionner, mais vous pouvez le modifier pour l'adapter à vos besoins. Si tout >vous semble correct, copiez-le dans <path>/etc/X11/XF86Config</path>. ></p> > ><p> >Ce <uri >link="http://www-106.ibm.com/developerworks/edu/os-dw-linuxxwin-i.html">tutoriel</uri> >décrit la configuration de X plus en détails. ></p> > ><note> >Si vous ne connaissez pas les fréquences de rafraîchissement de votre moniteur, >essayez une recherche sur <uri>http://www.google.com/</uri> avec le numéro de >modèle et la marque de votre moniteur. Les fréquences sont généralement >indiquées dans les spécifications. ></note> > ><note> >Si vous utilisez un clavier international qui a besoin des touches diacritiques >(telles que è, é, ê, ë, ò, ó), vous devez >déclarer votre variable de définition de votre localisation avant de démarrer >X. Pour cela, créez un fichier <path>/etc/env.d/02locale</path> et ajoutez ><c>LC_CTYPE=« xx_YY »</c> où <c>xx</c> est votre langue (p.ex. « <c>fr</c> ») et ><c>YY</c> votre pays (p.ex. « <c>BE</c> »). Si vous voulez utiliser le symbole >euro, vous devez ajouter « <c>@euro</c> » à votre variable (p.ex. ><c>LC_CTYPE="fr_BE@euro"</c>). N'oubliez pas de faire ensuite <c>env-update >&& source /etc/profile</c> pour prendre vos modifications en compte. ></note> > ><p> >Les utilisateurs qui ont de l'expérience avec la configuration X sont sans >doute habitués à faire un lien symbolique du fichier matériel de la souris vers ><path>/dev/mouse</path>. Ces liens symboliques étaient problématiques avec >devfs car ils avaient tendance à disparaître après un redémarrage. Gentoo Linux >gère maintenant correctement les liens symboliques dans le répertoire ><path>/dev</path>. Vous pouvez donc créer le lien symbolique ><path>/dev/mouse</path> en utilisant <c>ln -s</c> et il <e>sera</e> préservé >après un redémarrage. ></p> > ><p> >Si vous utilisez XFS (le serveur de polices de X), suivez les instructions >ci-dessous. L'utilisation de XFS est hautement recommandée car elle facilite ><e> grandement</e> la configuration des polices. Consultez cet article du site >de <uri link = >"http://www.redhat.com/docs/manuals/linux/RHL-7.3-Manual/ref-guide/s1-x-fonts.html">RedHat</uri> >pour en savoir plus sur XFS. ></p> > ><pre caption = "Tester votre configuration"> ># <c>rc-update add xfs default</c> ># <c>/etc/init.d/xfs start</c> ># <c>startx</c> ></pre> > ><p> >Si vous avez correctement configuré X, la commande <c>startx</c> devrait >démarrer un gestionnaire de fenêtres X particulièrement laid (twm, si vous >tenez à le savoir). Si X démarre, vous pouvez continuer. Appuyez sur ><c><Ctrl><Alt><Retour arrière></c> pour arrêter le serveur. ></p> > ><p> ><c>xf86config</c> crée uniquement un jeu d'options par défaut. Les utilisateurs >de cartes NVIDIA, souris USB ou autres devront les paramétrer manuellement. Je >vais tenter de répondre à la plupart de ces questions un peu plus bas, mais je >vous recommande de lire le fichier <i>XF86Config</i> afin de voir ce que vous >pouvez modifier vous-même. Il n'est pas si difficile à comprendre. Si vous >recherchez des informations pour optimiser ce fichier, consultez le <uri link = >"http://www.tldp.org/HOWTO/mini/FDU/">Guide des belles polices</uri>. ></p> > ></body> ></section> > ><section> ><title>Configurer une souris PS/2</title> > ><body> > ><p> >Si vous avez une souris PS/2 avec molette, modifiez le fichier <c>XF86Config</c> comme ceci : ></p> > ><pre caption = "Modifier XF86Config"> ># <i>cp /etc/X11/XF86Config /etc/X11/XF86Config.working</i> ># <i>nano -w /etc/X11/XF86Config</i> ></pre> > ><pre caption="Section du périphérique de pointage dans XF86Config"> >Section "InputDevice" > >#Identifier and driver > >Identifier "Mouse1" >Driver "mouse" ><i>Option "Protocol" "IMPS/2" </i> >Option "Device" "/dev/psaux" ><i>Option "ZAxisMapping" "4 5"</i> ></pre> > ><p> >Les utilisateurs de souris de type Intellimouse remplaceront le >« Protocol » « PS/2 » par « IMPS/2 ». Pour >activer la molette, il suffit de rajouter la ligne « Option "ZAxisMapping" >"4 5" » où « 4 » et « 5 » correspondent aux mouvements >vers le haut et vers le bas. ></p> > ><p> >Si vous possédez une souris à molette et que <c>PS/2</c> ne fonctionne pas, >essayez <c>IMPS/2</c> même si votre souris n'est pas de type Intellimouse. >Certaines souris Logitech fonctionnent si vous faites cela. ></p> > ><note> >Netscape 4.x ne gérant pas la molette par défaut, vous devrez créer un fichier .Xdefaults. >Consultez <uri link="http://www-sop.inria.fr/koala/colas/mouse-wheel-scroll/">cette page</uri> >pour savoir comment procéder. Utilisez plutôt <c>Konqueror</c>, <c>Opera</c>, ><c>Mozilla</c>, <c>Galeon</c> ou n'importe quel autre vrai navigateur. ></note> > ><p> >Lancez <c>startx</c> pour vérifier que X démarre toujours correctement. ></p> > ></body> ></section> > ><section> ><title>Configurer une souris USB</title> > ><body> > ><p> >Une souris USB est très utile sur un écran haute résolution, car le noyau >optimise ses mouvements, ce qui vous évite de déplacer la souris 5 fois sur le >tapis pour lui faire traverser l'écran. ></p> > ><p> >Pour l'utiliser correctement, vous devez installer les bons modules du noyau. >Ces modules sont <i>usbmouse</i>, <i>mousedev</i>, <i>hid</i>, <i>usbcore</i>, ><i>usb-uhci</i> et <i>input</i>. Après avoir recompilé ces modules, si >nécessaire, il ne vous restera plus qu'à faire un <i>insmod</i> de ceux-ci. ></p> > ><note> >Utilisez <i>usbmouse</i> <b>ou</b> <i>hid</i>. Si vous installez les deux, >votre souris ne fonctionnera pas. ></note> > ><note> >Lorsque vous configurez le support de base de votre souris, assurez-vous de >bien préciser la résolution d'écran qui sera utilisée sous XFree86. Cela >devrait rendre son utilisation facile et agréable. ></note> > ><p> >Déconnectez votre souris, patientez quelques secondes, puis reconnectez-la. >Votre noyau devrait alors indiquer quelque chose comme ceci dans les journaux >des événements (« log ») ou dmesg : ></p> > ><pre caption = "Message du noyau"> >hub.c: USB new device connect on bus1/1, assigned device number 2 >input0,hiddev0: USB HID v1.00 Mouse [Microsoft Microsoft IntelliMouse Optical] on usb1:2.0 ></pre> > ><p> >Maintenant que nous savons que la souris est détectée, vérifiez que ><path>/dev/input</path> contient un périphérique : ></p> > ><pre caption = "Vérifier l'existence de votre souris USB"> ># <c>cd /dev/input</c> ># <c>cat mice</c> ><comment>Déplacez votre souris après avoir tapé la commande <i>cat</i>. >Vous devriez voir des caractères apparaître à l'écran. >Faites <i>control-C</i> pour arrêter le test.</comment> ></pre> > ><p> >Maintenant que la souris est correctement installée, il faut indiquer à X de >l'utiliser. Il vous suffit pour cela de changer une section de votre fichier de >configuration. ></p> > ><pre caption = "Ãditer XF86Config"> ># <c>cp /etc/X11/XF86Config /etc/X11/XF86Config.working</c> ># <c>nano -w /etc/X11/XF86Config</c> ></pre> > ><pre caption="Section du périphérique de pointage dans le fichier XF86Config"> >Section "InputDevice" > ># Identifier and driver > >Identifier "Mouse1" >Driver "mouse" ><i>Option "Protocol" "IMPS/2" </i> >Option "Device" "/dev/input/mice" ><i>Option "ZAxisMapping" "4 5"</i> ></pre> > ><p> >Redémarrez X et votre souris devrait fonctionner ! ></p> > ><p> >N'oubliez pas d'ajouter les modules USB dans votre fichier <i>/etc/modules.autoload.d/kernel-2.4</i>. ></p> > ><pre caption = "Ajouter les modules dans le fichier /etc/modules.autoload.d/kernel-2.4"> ># <i>nano -w /etc/modules.autoload.d/kernel-2.4</i> ><comment>(Ajoutez ces lignes au fichier)</comment> >mousedev >hid >usbcore >input ></pre> > ></body> ></section> > ><section> ><title>Configurer une carte NVIDIA</title> > ><body> ><p> >Si vous possédez une carte NVIDIA, c'est le moment d'installer les pilotes pour >l'accélération matérielle.</p> > ><note> >Si vous recompilez votre noyau, vous devez aussi recompiler le paquet ><i>nvidia-kernel</i>. Cela est nécessaire car le nouveau noyau effacera le >module nividia lorsqu'il installera ses propres modules. ></note> > ><pre caption="Pour possesseurs de cartes NVIDIA uniquement"> ># <c>emerge nvidia-glx</c> ># <c>emerge nvidia-kernel</c> ># <c>nano -w /etc/X11/XF86Config</c> ># <c>modprobe nvidia</c> ></pre> > ><note> >Si vous utilisez une version du noyau différente de 2.4, remplacez 2.4 par la >version que vous utilisez. ></note> > ><pre caption="/etc/modules.autoload.d/kernel-2.4 (uniquement pour les cartes NVIDIA)"> ># <i>nano -w /etc/modules.autoload.d/kernel-2.4</i> ><comment>(Ajoutez la ligne suivante.)</comment> >nvidia ></pre> > ><pre caption="Activer le support GLX dans le fichier /etc/X11/XF86Config"> >Section "Module" > ># This loads the GLX module ># Load "glx" <comment>(Décommentez cette ligne.)</comment> ></pre> > ><pre caption="Configurer le fichier /etc/X11/XF86Config pour utiliser le pilote NVIDIA"> >Section "Device" >Identifier "NVIDIA GeForce" >#Driver "nv" >Driver "nvidia" >#VideoRam 32768 ># Insert Clocks lines here if appropriate >EndSection ></pre> > ><p> >Faites un <c>startx</c> pour vous assurer que X démarre encore. (L'écran >d'accueil avec le logo NVIDIA devrait apparaître si vous avez correctement >installé les pilotes.) ></p> > ><note> >Si vous rencontrez des problèmes, veuillez consulter la documentation sur glx >dans le fichier <path>/usr/share/doc/nvidia-glx-1.0.XXXX/README.gz</path>. De >nombreuses variables de configuration peuvent influencer les performances de >votre système. ></note> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Gestionnaires de fenêtres</title> > ><section> ><title>Introduction</title> ><body> > ><p> >Généralement, après avoir configuré X, on installe un joli gestionnaire de fenêtres. >Vous pouvez évidemment utiliser twm si vous appréciez sa laideur fonctionnelle. ></p> > ><p> >Un grand nombre de gestionnaires sont disponibles. KDE, >GNOME, Fluxbox, Blackbox, d'autres *box, Windowmaker et Sawfish en sont quelques exemples. >Comme vous pouvez le voir, l'éventail des choix est particulièrement large. ></p> > ></body> ></section> > ><section> ><title>KDE</title> ><body> > ><p> >Si vous lisez cette section, je vais supposer que vous avez choisi KDE. Il >est désormais complètement supporté dans Gentoo Linux, mais je vous conseille >de lire ce qui suit avant de faire un emerge de KDE : ></p> > ><ul> ><li> > Assurez-vous d'avoir « qt » et « kde » dans votre variable USE dans le fichier > <i>make.conf</i>. ></li> ><li> > Assurez-vous aussi d'avoir mis (facultatif) « -gnome » et « -gtk » dans le > fichier <i>make.conf</i>. ></li> ></ul> > ><p> >Vous pouvez réaliser ces deux étapes en modifiant le fichier ><path>/etc/make.conf</path> comme suit : ></p> > ><pre caption = "Modifier make.conf"> ># <i>nano -w /etc/make.conf</i> ><comment>(dans le fichier make.conf)</comment> >USE="qt kde -gnome -gtk" ></pre> > ><p> >Pour en savoir plus sur les options de la variable USE, veuillez consulter le ><uri link="use-howto.xml">Guide USE</uri>. ></p> > ><p> >Je vous conseille également l'utilisation de l'option <c>--pretend</c> avant de faire un ><c>emerge</c> afin de voir quels paquets vont être installés. Dans le cas de KDE, >il y en a beaucoup. ></p> > ><pre caption = "Vérifier les paquets requis par KDE"> ># <i>emerge --pretend kde</i> ># <i>emerge kde</i> ># <i>env-update && source /etc/profile</i> ></pre> > ><p> >Jetez un Åil au fichier <path>/etc/X11/Sessions/</path> >et voyez quelles sessions KDE sont disponibles >(par exemple <path>kde-3.1.2</path>). >Ensuite, ouvrez le fichier <path>/etc/rc.conf</path> et >indiquez ceci : ></p> > ><pre caption = "Définir la variable XSESSION"> >XSESSION="kde-3.1.2" ></pre> > ><p> >Si vous ne voulez pas installer KDE avec tous ses paquets (ce que ferait ><c>emerge kde</c>), vous pouvez installer séparément les paquets que vous ><e>voulez</e> vraiment. Le tableau ci-dessous contient une sélection de >paquets disponibles. Installez ceux que vous souhaitez en faisant ><c>emerge nom_du_paquet</c>. ></p> > ><table> ><tr> > <th>Paquet</th> > <th>Description</th> ></tr> ><tr> > <ti>kdeaccessibility</ti> > <ti>Programmes liés à l'accessibilité</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdebase</ti> > <ti>Base de KDE, nécessaire</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdeaddons</ti> > <ti>Divers outils KDE obsolètes</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdeadmin</ti> > <ti>Outils d'administration</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdeartwork</ti> > <ti>Jolis thèmes pour KDE</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdeedu</ti> > <ti>Outils éducatifs</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdegames</ti> > <ti>Jeux KDE</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdegraphics</ti> > <ti>Outils graphiques</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdemultimedia</ti> > <ti>Lecteurs et outils multimedia</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdenetwork</ti> > <ti>Outils réseau</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdepim</ti> > <ti>Gestionnaires d'informations personnelles (PIM), calendriers, aide-mémoire, etc.</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdesdk</ti> > <ti>Outils pour développeurs</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdetoys</ti> > <ti>Gadgets KDE</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kdeutils</ti> > <ti>Outils système</ti> ></tr> ><tr> > <ti>kde-i18n</ti> > <ti>Fichiers de traductions i18n - cf. note ci-dessous</ti> ></tr> ></table> > ><note> >Si vous pensez utiliser CUPS pour imprimer, vous devriez ajouter >« cups » dans vos options USE dans le fichier ><path>/etc/make.conf</path> avant d'installer KDE. Vous pouvez aussi le faire >sur la ligne de commande en tapant <c>USE="cups" emerge kde</c>. Consultez le ><uri link="printing-howto.xml">Guide de l'impression</uri> avec >Gentoo pour connaître les détails de l'installation de CUPS. ></note> > ><note> >Le paquet kde-i18n utilise la variable d'environnement LINGUAS pour déterminer >quelles langues il doit installer. Par exemple, <c>LINGUAS="fr it"</c> permet >l'installation des traductions française et italienne. ></note> > ><p> >Bonne sieste ! ></p> > ><note> >Si vous avez un CD Gentoo avec des paquets binaires, vous pouvez installer ces >paquets directement comme ceci : ></note> > ><pre caption="Installer les paquets binaires depuis le CD"> ># <i>export PKGDIR=/mnt/cdrom/gentoo/packages</i> ><comment>(Portage s'attend à trouver les paquets dans /usr/portage/packages)</comment> ># <i>emerge --usepkg /mnt/cdrom/gentoo/packages/All/kdebase-x.y.z.tbz2</i> ><comment>(L'option <c>--usepkg</c> permet l'utilisation des paquets binaires pour les dépendances quand ils sont disponibles.)</comment> ># <i>env-update && source /etc/profile</i> ></pre> > ></body> ></section> > ><section> ><title>Configurer KDM</title> ><body> > ><p> >Après avoir installé KDE, vous pouvez utiliser son gestionnaire >d'identification, c-à -d. KDM. Il fait partie des paquets KDE et s'exécute >simplement en faisant : ></p> > ><pre caption = "Démarrer KDM"> ># <c>kdm</c> ></pre> > ><p> >Vous devriez pouvoir démarrer KDE et vous assurer que tout fonctionne. Le son >ne fonctionne pas encore, mais nous allons arranger cela sous peu. Essayez ><c>ls /usr/bin</c> dans konsole (ou n'importe quelle autre commande qui affiche >beaucoup de texte) et vérifiez que la molette fait défiler le contenu de la >fenêtre. Ãa devrait marcher ! ></p> > ><p> >Il ne vous reste plus qu'à paramétrer Gentoo pour exécuter X à chaque >démarrage. Editez <path>/etc/rc.conf</path> et indiquez ><e>DISPLAYMANAGER="kdm"</e>. ></p> > ><pre caption = "Ãditer /etc/rc.conf"> ># <i>nano -w /etc/rc.conf</i> ></pre> > ><pre caption="/etc/rc.conf - Définir DISPLAYMANAGER"> ># What display manager do you use ? [ xdm | gdm | kdm ] >DISPLAYMANAGER=kdm ></pre> > ><p> >Il ne reste qu'à ajouter <e>xdm</e> aux scripts d'initialisation. ></p> > ><pre caption = "Ajout de XDM aux scripts d'initialisation par défaut"> ># <i>rc-update add xdm default</i> ></pre> > ><p> >Redémarrez et X/KDE devrait apparaître. ></p> > ><impo> >La commande <c>rc-update</c> est une version améliorée de la vénérable ><c>chkconfig</c> qui gère les scripts d'initialisation. Tapez <c>rc-update</c> pour >lister ses options. ></impo> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>GNOME</title> > ><section> ><title>Installation</title> ><body> > ><p> >Avant de commencer à installer les paquets GNOME, vous devriez modifier la >variable USE pour activer le support de GNOME quand vous compilerez des >applications. ></p> > ><ul> ><li> > Vérifiez que « gtk » et « gnome » sont définis dans la variable USE dans votre > fichier <i>make.conf</i>. ></li> ><li> > Vérifiez éventuellement que « -kde » et « -qt » sont définis dans la variable USE > dans <i>make.conf</i>. ></li> ></ul> > ><p> >Modifiez le fichier <path>/etc/make.conf</path> comme ceci : ></p> > ><pre caption = "Ãditer make.conf"> ># <i>nano -w /etc/make.conf</i> ><comment>(Dans le fichier make.conf)</comment> > >USE="gnome gtk -kde -qt" ></pre> > ><p> >Pour en savoir plus sur les options de la variable USE, veuillez consulter le ><uri link="use-howto.xml">guide USE</uri>. ></p> > ><p> >Installez maintenant les paquets de GNOME. ></p> > ><pre caption = "Installer les paquets de GNOME"> ># <i>emerge --pretend gnome</i> ># <i>emerge gnome</i> ># <i>emerge xscreensaver</i> ># <i>env-update && source /etc/profile</i> ></pre> > ><p> >Cela va durer un certain temps, passez le temps avec un bon film. L'auteur >recommande Pulp Fiction. ></p> > ><p> >Modifiez le fichier <path>/etc/rc.conf</path> pour que la variable >XSESSION indique Gnome. ></p> > ><pre caption = "Modifier XSESSION dans /etc/rc.conf"> >XSESSION="Gnome" ></pre> > ><p> >à partir d'ici, la configuration de GNOME est sensiblement la même que celle de >KDE. Il n'y a aucun fichier spécifique à paramétrer pour GNOME, mais il faut >paramétrer GDM, le gestionnaire d'identification. ></p> > ></body> ></section> > ><section> ><title>Configurer GDM</title> ><body> > ><p> >Après avoir installé GNOME, vous pouvez utiliser son gestionnaire >d'identification, c-à -d. GDM. Il fait partie du paquet GDE et s'exécute >simplement en faisant : ></p> > ><pre caption = "Exécuter GDM"> ># <c>gdm</c> ></pre> > ><p> >Vous devriez pouvoir démarrer GNOME et vous assurer que tout fonctionne. Le son >ne fonctionne pas encore, mais nous allons arranger cela sous peu. Essayez ><c>ls /usr/bin</c> dans une console (ou n'importe quelle autre commande qui affiche >beaucoup de texte) et vérifiez que la molette fait défiler le contenu de la >fenêtre. Ãa devrait marcher ! ></p> > ><p> >Il ne reste plus qu'à paramétrer Gentoo pour lancer X à chaque démarrage. >Ãditez <path>/etc/rc.conf</path> et indiquez <e>DISPLAYMANAGER="gdm"</e>. ></p> > ><pre caption = "Ãditer /etc/rc.conf"> ># <i>nano -w /etc/rc.conf</i> ></pre> > ><pre caption="/etc/rc.conf - Définir DISPLAYMANAGER"> ># What display manager do you use ? [ xdm | gdm | kdm ] >DISPLAYMANAGER=gdm ></pre> > ><p> >Ajoutons <e>xdm</e> aux scripts d'initialisation. ></p> > ><pre caption = "Ajout de XDM aux scripts d'initialisation"> ># <i>rc-update add xdm default</i> ></pre> > ><p> >Redémarrez et X/GNOME devrait apparaître. ></p> > ><impo> >La commande <c>rc-update</c> est une version améliorée de la vénérable ><c>chkconfig</c> qui gère les scripts d'initialisation. Tapez <c>rc-update</c> pour >lister ses options. ></impo> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Configuration du son</title> ><section> ><title>Alsa</title> ><body> > ><p> >Veuillez consulter le <uri link="http://www.gentoo.org/doc/fr/alsa-guide.xml">Guide d'installation de ALSA</uri>. ></p> > ></body> ></section> > ><section> ><title>KDE et le son</title> ><body> > ><p> >KDE offre quelques utilitaires pratiques dont la console de mixage >(« mixer ») <c>kmix</c>. ></p> > ><note> >Si kmix ne trouve pas le programme de mixage, il considérera que vous n'avez >pas installé le support du son. Quittez votre session X, supprimez ><path>~/.kde/share/config/kmixrc</path> et <path>~/.kde/share/config/kmix:*</path> >et relancez X. KDE devrait maintenant trouver le programme de mixage. ></note> > ></body> ></section> > ><section> ><title>GNOME et le son</title> ><body> > ><p> >Vous devriez essayer <c>gnome-alsamixer</c> pour modifier les niveaux sonores. >Il fait partie du paquet <path>media-sound/gnome-alsamixer</path>. ></p> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Courrier électronique</title> ><section> ><title>Postfix, installation et configuration</title> ><body> > ><p> >J'aime <c>postfix</c> car il simule <c>sendmail</c> sans imposer le cauchemard >qu'est sa configuration. Nous installerons aussi <c>mutt</c>, un lecteur de >courrier électronique, pour tester notre configuration de <c>postfix</c>. ></p> > ><pre caption = "Installer postfix et mutt"> ># <i>emerge postfix mutt</i> ></pre> > ><p> >Si vous comptez utiliser Postfix uniquement pour envoyer du courrier >électronique, il est déjà configuré. Sinon, vous devez modifier ><path>/etc/postfix/main.cf</path>. Ce fichier est relativement bien documenté >et les valeurs par défaut sont acceptables pour une machine seule. Si votre >ordinateur est connecté directement à Internet (c-à -d. avec une adresse IP >publique et un nom DNS), il vous suffit de modifier ce fichier pour activer la >réception de courriels. ></p> > ><pre caption="Activer la réception de courriels dans le fichier main.cf"> ># RECEIVING MAIL > ># The inet_interfaces parameter specifies the network interface ># addresses that this mail system receives mail on. By default, ># the software claims all active interfaces on the machine. The ># parameter also controls delivery of mail to user@[ip.address]. ># >#inet_interfaces = all >#inet_interfaces = $myhostname >#inet_interfaces = $myhostname, localhost ><i>inet_interfaces = $myhostname, localhost</i> ><i>mydestination = $myhostname, localhost.$mydomain</i> ></pre> > > ></body> ></section> > ><section> ><title>Tester Postfix avec Mutt</title> ><body> > ><p> >Voyons si ça marche. ></p> > ><pre caption = "Tester Postfix"> ># <i>postfix check</i> ># <i>newaliases</i> ># <i>postfix start</i> >postfix-script: starting the Postfix mail system ># <i>mutt -x root</i> >/root/.maildir does not exist. Create it? ([y]/n): <comment>[Répondez « y »]</comment> >To: <root> >Subject: test >(End message with a . on a line by itself) >test >. > ># <i>mutt</i> ><comment>[Vous devriez voir votre message.]</comment> ></pre> > ><p> >En utilisant <c>postfix check</c>, nous nous assurons que le fichier ><path>main.cf</path> est lu correctement et que les répertoires importants sont >créés. La commande <c>newaliases</c> configure les alias système et la >commande <c>postfix start</c> démarre le serveur de courrier. J'ai ensuite >utilisé <c>mutt</c> (façon <c>mailx</c> ou encore en mode <c>mail</c>) pour >m'envoyer un courriel localement. <c>mutt</c> crée aussi le répertoire de stockage >du courrier (pour root dans notre exemple) dans <path>~/.maildir</path>. Lancé >en mode interactif, <c>mutt</c> affiche votre message ; nous savons donc que >l'envoi et la réception de messages internes fonctionne. J'ai ensuite envoyé un >courrier à une adresse externe (absent dans l'exemple) pour vérifier que les >courriers électroniques sont correctement envoyés. ></p> > ><warn> >Si vous envoyez un courriel en utilisant la configuration par défaut du fichier ><path>main.cf</path> depuis une machine sur un réseau privé, il y a de fortes >chances qu'il n'arrive jamais à sa destination. Beaucoup de serveurs de courrier >refusent les courriers électroniques qui proviennent d'une source >non-vérifiable par une résolution DNS inverse. ></warn> > ><p> >Je suppose que tout fonctionne. Il est temps d'ajouter postfix au démarrage du >système. ></p> > ><pre caption = "Lancer Postfix à chaque démarrage de la machine"> ># <i>postfix stop</i> >postfix-script: starting the Postfix mail system ># <i>rc-update add postfix default</i> > * postfix added to runlevel default... > * Caching service dependencies... [ ok ] > * rc-update complete. ># <i>/etc/init.d/postfix start</i> >Starting postfix...... [ ok ] ></pre> > ><impo> >Les vétérans de <c>sendmail</c> ou les aficionados de <c>postfix</c> sont >peut-être habitués à stocker leur courrier dans <path>/var/spool/mail</path> au lieu >des répertoires utilisateurs. De plus, les courriels y sont stockés au format <e>mbox</e> >plutôt que <e>maildir</e>. Il n'est pas difficile de reconfigurer ><c>postfix</c> pour que <c>postfix</c> et <c>mutt</c> utilisent le format >standard de boîte (<e>mbox</e>). Ãditez <path>/etc/postfix/main.cf</path>, >commentez <i>home_mailbox</i> et décommentez <i>mail_spool_directory = >/var/spool/mail</i>. Créez le répertoire contenant les courriels en faisant ><c>mkdir -p /var/spool/mail</c> et redémarrez <c>postfix</c>. Ensuite, pour la >partie client, et particulièrement <c>mutt</c>, il vous suffit d'éditer ><path>/etc/mutt/Muttrc</path> et d'ajouter <i>set mbox_type = mbox</i> et le >répertoire <path>/var/spool/mail</path> avec <i>set >spoolfile=/var/spool/mail</i>. ></impo> > ><p> >Si vous préférez un client graphique, nous installerons l'interface Web >Squirrelmail un peu plus loin. D'ailleurs, Daniel Robbins recommande vivement >la combinaison d'IMAP (que nous installerons pour Squirrelmail) et le client >mail de KDE <c>kmail</c> qui fait partie du paquet ><path>kde-base/kdenetwork</path>. ></p> > ><p> >Nous verrons aussi comment installer <e>Evolution</e> comme logiciel de gestion >d'informations personnelles (PIM) avec le support pour Palm Pilot. ><e>Evolution</e> est aussi un excellent client de courrier électronique. ></p> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Samba</title> > ><section> ><title>Installer et configurer Samba</title> ><body> > ><p> >Samba est un superbe paquet qui permet aux machines Linux de partager des >fichiers et des imprimantes avec des machines MS Windows. Pour plus >d'informations, consultez l'article écrit par Daniel Robbins sur ><uri>http://www.ibm.com/developerworks?ca=dgr-Gentoo-dWhp</uri>. ></p> > ><pre caption = "Installer Samba"> ># <i>emerge samba</i> ># <i>rc-update add samba default</i> ># <i>cd /etc/samba</i> ># <i>cp smb.conf.example smb.conf</i> ># <i>nano -w smb.conf</i> ></pre> > ><pre caption="smb.conf - Le groupe de travail"> ># workgroup = NT-Domain-Name or Workgroup-Name, eg: REDHAT4 >workgroup = MYGROUP <comment>[Indiquez le groupe de travail ou domaine.]</comment> ></pre> > ><pre caption="smb.conf - Imprimer avec CUPS"> ># It should not be necessary to specify the print system type unless ># it is non-standard. Currently supported print systems include: ># bsd, sysv, plp, lprng, aix, hpux, qnx >; printing = bsd >printing = cups ></pre> > ><pre caption="smb.conf - Cryptage"> ># You may wish to use password encryption. Please read ># ENCRYPTION.txt, Win95.txt and WinNT.txt in the Samba documentation. ># Do not enable this option unless you have read those documents >encrypt passwords = yes ></pre> > ><p> >J'attends peu de choses de Samba. Je veux juste partager mes fichiers entre des >machines Linux et Windows, et utiliser ma machine Linux comme serveur >d'impression avec <c>cups</c>. Après l'installation, il faut juste faire >quelques petites modifications dans votre fichier ><path>/etc/samba/smb.conf</path>. Assurez-vous notamment que la variable ><e>workgroup</e> correspond bien à votre groupe de travail (ou domaine) Windows >(j'utilise généralement « OLYMPUS », mais « WORKGROUP » est >la valeur par défaut, si ma mémoire est bonne), que <e>printing</e> indique ><e>cups</e> au lieu de <e>bsd</e>, et que la ligne <e>encrypt passwords = yes</e> >est décommentée. Les machines Windows utilisent des mots de passe cryptés par >défaut, cette dernière instruction est donc cruciale, à moins que vous ne >vouliez modifier directement la base de registres des machines Windows ><comment>[pas recommandé du tout]</comment>. Malheureusement, Windows utilise >une méthode de cryptage différente de Linux, il vous faudra donc un fichier de >mots de passe différent pour samba. ></p> > ><pre caption = "Ajout d'utilisateurs dans samba"> ># <i>smbpasswd -a jules</i> <comment>[Remplacez « jules » par le nom de l'utilisateur.]</comment> >New SMB password: >Retype new SMB password: >Added user jules. ></pre> > ><note> >Avant d'ajouter un utilisateur au fichier de mots de passe samba, il doit >exister dans le fichier <path>/etc/passwd</path>. ></note> > ><p> >Pour chaque utilisateur qui doit être autorisé à utiliser les partages, lancez >la commande <c>smbpasswd</c>. Samba enregistre les mots de passe dans le >fichier <path>/etc/samba/private/smbpasswd</path> qui sera créé la première >fois que vous lancerez la commande <c>smbpasswd</c>. ></p> > ><pre caption = "Démarrer Samba"> ># <i>/etc/init.d/samba start</i> >Starting samba... [ ok ] ></pre> > ><p> >Démarrez samba et vous devriez pouvoir vous connecter sur votre Gentoo Linux >depuis n'importe quelle machine Windows et accéder à votre répertoire $HOME >ainsi qu'aux imprimantes partagées. Si vous ne pouvez pas vous connecter, >consultez ><path>/usr/share/doc/samba-2.2.5-r1/full_docs/textdocs/DIAGNOSIS.txt.gz</path>. ></p> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Apache et l'interface Web Squirrelmail</title> ><section> ><title>Apache avec support SSL et PHP</title> ><body> > ><p> >Si vous avez une adresse IP fixe (ou que vous utilisez les services de dyndns, >par exemple, pour lier votre adresse dynamique à un nom), vous voulez sans >doute avoir la possibilité de vérifier votre courrier à distance. Ma solution >utilise Squirrelmail. Ce dernier peut être utilisé avec n'importe quel navigateur. ></p> > ><p> >Commençons par installer un serveur Web. Vu que la plupart du monde utilise >Apache, nous allons également l'utiliser. Nous allons aussi installer mod_php >(le support PHP pour apache) puisque Squirrelmail a été écrit en PHP. ></p> > ><pre caption = "Installer et configurer Apache"> ># <i>emerge apache php mod_php</i> ></pre> > ><p> >Vous devriez également consulter le fichier ><path>/etc/apache2/conf/apache2.conf</path> parce que Apache est hautement >configurable. Par défaut, la racine des documents du serveur Apache se trouve >dans <path>/var/www/localhost/htdocs</path> (Apache y trouve les fichiers html qu'il >envoie quand vous vous connectez à http://www.monserveur.foo ou >http://localhost). Vous pouvez bien sûr le déplacer. ></p> > ><pre caption="/etc/apache2/conf/apache2.conf"> ># Do NOT add a slash at the end of the directory path. ># Attention: pas de / à la fin du chemin. ># >DocumentRoot "/var/www/localhost/htdocs" <comment>(Indiquez un autre emplacement si vous voulez.)</comment> ></pre> > ><pre caption = "Lancer Apache au démarrage de la machine"> ># <i>rc-update add apache default</i> > * apache added to runlevel default... > * Caching service dependencies... [ ok ] > * rc-update complete. ># <i>nano -w /etc/conf.d/apache2</i> ></pre> > ><p> >Utilisez <c>rc-update</c> pour ajouter Apache au niveau d'exécution par défaut >et éditez ensuite <path>/etc/conf.d/apache2</path> pour ajouter les options >suivantes pour qu'Apache charge automatiquement les modules SSL et PHP au >démarrage. ></p> > ><pre caption="/etc/conf.d/apache2"> >APACHE2_OPTS="-D SSL -D PHP4" ></pre> > ><pre caption = "Redémarrer Apache"> ># <c>/etc/init.d/apache2 start</c> > * Starting Apache... [ OK ] ># <c>links localhost</c> ></pre> > ><p> >Pour vérifier si votre serveur Web fonctionne, connectez-vous avec n'importe >quel navigateur sur l'adresse localhost. Pour vous assurer que le support SSL >est activé, connectez-vous sur <uri>http<comment>s</comment>://localhost</uri>. >Le préfixe <c>https</c> indique au navigateur qu'il doit utiliser une connexion ><e>sécurisée</e> par SSL. Les navigateurs graphiques affichent généralement un >cadenas quelque part pour indiquer qu'une connexion sécurisée est en cours. ></p> > ><note> >Lorsque vous établirez une connexion sécurisée vers votre serveur, vous >recevrez sans doute un avertissement indiquant que le certificat du site n'est >pas reconnu. Le module ssl installe un certificat auto-signé qui devrait >uniquement servir de test. Un certificat auto-signé est amplement suffisant >pour une utilisation personnelle. ></note> > ><p> >Vérifions que PHP fonctionne. Le plus simple est de sauver un fichier PHP à la >racine des documents de votre serveur Apache. ></p> > ><pre caption = "Tester PHP"> ># <i>nano -w /var/www/localhost/htdocs/test.php</i> ><?php phpinfo(); ?> ># <i>links http://localhost/test.php</i> ></pre> > ><pre caption="Une configuration Apache + PHP qui fonctionne"> >phpinfo() (p1 of 26) >PHP Logo > >PHP Version 4.0.6 > >System Linux my.server.edu 2.4.10 #1 Tue Oct 9 16:33:50 Local >time zone must be set--see zic manuali686 i686 unknown >Build Date Oct 16 2001 ></pre> > ><p> >Si vous voyez une page dont le début ressemble au texte ci-dessus, cela veut >dire qu'Apache a correctement interprété le code PHP. ></p> > ><warn> >Si vous lisez l'ensemble du texte affiché par <path>test.php</path>, vous remarquerez qu'il >donne <e>énormément</e> d'informations sur votre système. Vous devriez vous en débarasser >une fois que vous avez vérifié que PHP fonctionne. (Ou alors le renommer avec : <c>mv >test.php test.phps</c>. De cette façon, Apache affichera le code source de <path>test.phps</path> au lieu d'éxécuter le script.) ></warn> > ></body> ></section> > ><section> ><title>« Courier-IMAP »</title> ><body> > ><p> >Squirrelmail est une application PHP qui utilise un serveur IMAP pour faire le >lien entre le serveur Web et votre courrier électronique. Etant donné que >Gentoo Linux utilise le format Maildir par défaut, >« Courier-IMAP » est un bon >choix. ></p> > ><pre caption = "Installer et tester « Courier-IMAP »"> ># <i>emerge courier-imap</i> ># <i>rc-update add courier-imapd default</i> > * courier-imapd added to runlevel default... > * Caching service dependencies... [ ok ] > * rc-update complete. ># <i>nano -w /etc/courier-imap/authdaemonrc</i> ># <i>/etc/init.d/courier-imapd start</i> ># <i>telnet localhost 143</i> >Trying 127.0.0.1... >Connected to localhost.localdomain. >Escape character is '^]'. > * OK Courier-IMAP ready. Copyright 1998-2001 Double Precision, Inc. >See COPYING for distribution information. >1 LOGIN grant passwd <comment>(<-- Remplacez « grant » par votre nom d'utilisateur >et « passwd » par votre mot de passe.)</comment> >1 OK LOGIN OK ><comment>(Tapez <Ctrl>+] et « quit » pour quitter.)</comment> ></pre> > ><pre caption="Autorisation valide dans le fichier /etc/courier-imap/authdaemonrc"> >##NAME: authmodulelist:0 ># ># The authentication modules that are linked into authdaemond. The ># default list is installed. You may selectively disable modules simply ># by removing them from the following list. The available modules you ># can use are: authcustom authcram authuserdb authpam > >#authmodulelist="authcustom authcram authuserdb authpam" >authmodulelist="authpam" ></pre> > ><impo> >« Courier-IMAP » sauve généralement le nom du Maildir utilisé en dur dans son >script de démarrage <path>/usr/lib/courier-imap/imapd.rc</path> comme ceci : ><path>$HOME/Maildir</path>. Cependant, comme Gentoo linux utilise plutôt >$HOME/.maildir. ebuild modifie le script <path>imapd.rc</path> pour qu'il >utilise <e>$MAILDIR</e>, qui est défini dans le script d'initialisation ><path>/etc/init.d/courier-imap</path>. Si vous choisissez d'utiliser une boîte >différente de <path>.maildir</path>, vous devez modifier la ligne ><e>MAILDIR=.maildir</e> dans le script d'initialisation de courier-imap. ></impo> > ><p> >Si vous voulez que « Courier-IMAP » supporte SSL, il vous suffit de créer un >certificat SSL pour IMAP, d'indiquer à « Courier-IMAP » où le trouver, ></p> > ><pre caption = "Créer un certificat SSL pour IMAP"> ># <i>/usr/sbin/mkimapdcert</i> ></pre> > ><p> >et de démarrer IMAP SSL. ></p> > ><pre caption = "Ajouter « Courier-IMAP » aux scripts d'initialisation"> ># <i>rc-update add courier-imapd-ssl default</i> ># <i>/etc/init.d/courier-imapd-ssl start</i> ></pre> > ><p> >Vous pouvez vérifier que votre serveur fonctionne >avec un client qui utilise IMAP et SSL tel que netscape, kmail ou mutt. ></p> > ><pre caption = "Tester votre serveur IMAP"> ># <i>mutt -f imap://localhost</i> ></pre> > ><pre caption = "Tester votre serveur IMAP avec SSL"> ># <i>mutt -f imaps://localhost</i> ></pre> ></body> ></section> > ><section> ><title>Squirrelmail</title> ><body> > ><p> >L'installation et la configuration de Squirrelmail sont un jeu d'enfant une >fois que vous avez installé tous les composants nécessaires. ></p> > ><pre caption = "Installer Squirrelmail"> ># <i>emerge squirrelmail</i> ># <i>cd /var/www/localhost/htdocs</i> ># <i>cd squirrelmail</i> ># <i>./configure</i> ></pre> > ><note> >Si votre variable Apache DocumentRoot n'est pas ><path>/var/www/localhost/htdocs</path>, vous devez modifier l'ebuild ><path>net-mail/squirrelmail</path> pour indiquer le répertoire que vous >utilisez. ></note> > ><p> >Squirrelmail impose que tous les fichiers appartiennent à l'utilisateur sous >lequel tourne le démon Apache (l'ebuild de squirrelmail définit « apache » comme >utilisateur par défaut). Utilisez <c>./configure</c> et sélectionnez l'option ><e>2</e>. ></p> > ><pre caption="Configuration de Squirrelmail - Les paramètres du serveur"> >SquirrelMail Configuration : Read: config.php >--------------------------------------------------------- >Server Settings >1. Domain : my.server.edu >2. IMAP Server : localhost >3. IMAP Port : 143 >4. Use Sendmail/SMTP : SMTP >6. SMTP Server : localhost >7. SMTP Port : 25 >8. Authenticated SMTP : false >9. Server : courier >10. Invert Time : false >11. Delimiter : detect > >R Return to Main Menu >C. Turn color off >S Save data >Q Quit > >Command >> ></pre> > ><p> >Assurez-vous que la directive <e>9. Server</e> indique <e>courier</e>. >Retournez ensuite au menu principal et sélectionnez <e>4</e>, options générales. ></p> > ><pre caption="Configuration Squirrelmail - Les options générales"> >SquirrelMail Configuration : Read: config.php >--------------------------------------------------------- >General Options >1. Default Charset : iso-8859-1 >2. Data Directory : ../data/ >3. Attachment Directory : /tmp/ >4. Default Left Size : 150 >5. Usernames in Lowercase : false > >R Return to Main Menu >C. Turn color off >S Save data >Q Quit > >Command >> ></pre> > ><p> >J'utilise le répertoire de données par défaut bien qu'il soit >plus sûr d'utiliser un répertoire en dehors d'apache. J'utilise également ><path>/tmp</path> comme répertoire pour stocker les pièces jointes. ></p> > ><p> >Redémarrez Apache et vous êtes prêt ! ></p> > ><pre caption = "Redémarrer Apache"> ># <i>/etc/init.d/apache2 restart</i> ></pre> > ><p> >Avec votre navigateur, ouvrez la page d'accueil ><uri>https://localhost/squirrelmail/src/login.php</uri>. ></p> > ><pre caption = "Tester Squirrelmail"> ># <i>links https://localhost/squirrelmail/</i> ></pre> > ><pre caption="Page d'accueil de Squirrelmail"> >SquirrelMail - Login >[sm_logo.jpg] > >SquirrelMail version 1.2.0 [rc2] >By the SquirrelMail Development Team > >SquirrelMail Login > >Name: ____________________ >Password: ____________________ > >Login ></pre> > ><p> >Je ne vous conseille pas d'utiliser links pour vous connecter à Squirrelmail >mais rien ne vous en empêche ! ></p> > ></body> ></section> ></chapter> > ><chapter> ><title>Gestionnaire d'informations personnelles (PIM)</title> > ><section> ><title>Evolution avec support pour Palm</title> ><body> > ><p> >Evolution est un merveilleux outil de gestion d'informations personnelles >qui peut se synchroniser avec votre Palm Pilot. Commencez par installer >Evolution. Si vous comptez utiliser un assistant personnel Palm Pilot, ajoutez >« pda » dans les options de la variable USE dans le fichier ><path>/etc/make.conf</path> avant de l'installer. ></p> > ><pre caption = "Installer Evolution"> ># <i>emerge --pretend evolution</i> ># <i>emerge evolution</i> ></pre> > ><p> >Evolution est malheureusement long à compiler (notez qu'il dépend de ><c>mozilla</c>) ; vous pouvez abuser de café ou de thé en attendant la fin de la >compilation. ></p> > ><p> >La compilation d'<c>Evolution</c> devrait installer les outils nécessaires pour >votre assistant. Pour vous assurer qu'un utilisateur normal peut synchroniser >son Palm Pilot, vous devez modifier quelques permissions sur le port série. Je >suppose que votre Palm se connecte sur le premier port série (/dev/ttyS0 ou >/dev/tts/0 avec « devfs »). ></p> > ><pre caption = "Ajout d'un périphérique série"> ># <i>groupadd serial</i> ># <i>chown root.serial /dev/tts/0</i> ># <i>chmod g+rw /dev/tts/0</i> ># <i>ls -l /dev/tts/0</i> >crw-rw---- 1 root serial 4, 64 Dec 31 1969 /dev/tts/0 ># <i>ln -s /dev/tts/0 /dev/pilot</i> ># <i>nano -w /etc/group</i> <comment>(Ajoutez les utilisateurs nécessaires au groupe serial.)</comment> ></pre> > ><p> >Nous venons d'ajouter un groupe « serial » au système et vous pouvez y ajouter >tous les utilisateurs qui ont besoin du port série. Nous avons attribué les >permissions « rw » (lecture et écriture) au groupe serial sur le périphérique ><path>/dev/tts/0</path> et créé un lien symbolique <path>/dev/pilot</path> qui >pointe vers <path>/dev/tts/0</path>. Comme mentionné précédemment, grâce aux >récents changements de devfs, ce lien symbolique reste en place après un >redémarrage. ></p> > ><note> >Les utilisateurs de la version pre-rc6-r13 peuvent soit mettre à jour ><path>sys-apps/baselayout</path> et <path>sys-apps/devfsd</path> (et ensuite >accepter les modifications apportées aux fichiers « ._cfg* » dans le répertoire ><path>/etc</path>), soit changer les permissions et le lien symbolique dans le >fichier <path>/etc/devfsd.conf</path>. ></note> > ><p> >Les utilisateurs peuvent sélectionner <path>tools/Pilot settings</path> dans les >options d'Evolution pour paramétrer le pilote Gnome pour Palm Pilot. >N'oubliez pas de paramétrer « Pilot Conduits » en plus de « Pilot >Link » dans le panneau de configuration de Gnome. ></p> > ></body> ></section> ></chapter> ></guide>
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